L'objectif principal du nouveau chef de l'État est de sortir l'Iran de son isolement. Massoud Pezechkian s'adresse d'abord à ses voisins les plus proches : la Turquie, l'Arabie-Saoudite, l'Irak, le Qatar... Avec un message prioritaire, faire pression pour obtenir un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Dans ce long texte, « Message au nouveau monde », publié par le Tehran Times, Massoud Pezechkian regarde ensuite vers la Russie – décrite comme « un allié stratégique précieux » – et vers la Chine, avec qui il souhaite collaborer davantage.
Un dialogue avec l'UE
Avec les pays européens, il explique avoir « hâte d'engager un dialogue constructif pour mettre (leurs) relations sur la bonne voie ».
Le ton se fait plus ferme avec les États-Unis, six ans après leur retrait de l'accord sur le nucléaire iranien. Washington doit « reconnaître la réalité et comprendre, une fois pour toutes, que l'Iran ne répond pas – et ne répondra pas – aux pressions », prévient le président de l'Iran.
Ce premier « message au nouveau monde », de celui qui se présente comme un réformateur, ne doit pas faire oublier que ses marges de manœuvre sont limitées. Les conservateurs contrôlent les autres organes du pouvoir et le retour possible de Donald Trump à la Maison Blanche pourrait valoir de nouvelles sanctions contre le pays.
Dans ce long texte, « Message au nouveau monde », publié par le Tehran Times, Massoud Pezechkian regarde ensuite vers la Russie – décrite comme « un allié stratégique précieux » – et vers la Chine, avec qui il souhaite collaborer davantage.
Un dialogue avec l'UE
Avec les pays européens, il explique avoir « hâte d'engager un dialogue constructif pour mettre (leurs) relations sur la bonne voie ».
Le ton se fait plus ferme avec les États-Unis, six ans après leur retrait de l'accord sur le nucléaire iranien. Washington doit « reconnaître la réalité et comprendre, une fois pour toutes, que l'Iran ne répond pas – et ne répondra pas – aux pressions », prévient le président de l'Iran.
Ce premier « message au nouveau monde », de celui qui se présente comme un réformateur, ne doit pas faire oublier que ses marges de manœuvre sont limitées. Les conservateurs contrôlent les autres organes du pouvoir et le retour possible de Donald Trump à la Maison Blanche pourrait valoir de nouvelles sanctions contre le pays.