Le directeur de l’école «Maison de la sagesse», Abdoulaye L., a été arrêté et déféré au parquet par la Brigade de protection des mineurs. Il est poursuivi pour viol sur mineure, pédophilie, incitation à la débauche, attouchement et harcèlement sexuel.
D’après Libération, qui révèle cette affaire, le mis en cause a rejeté les accusations face aux enquêteurs. «Mais ses arguments ont été démontés par le bornage de son téléphone, mais aussi ses multiples contradictions», objecte le journal.
Abdoulaye L. semble avoir été enfoncé par les témoignages détaillés de sa victime présumée. Celle-ci se nomme R. D., 17 ans. Elle est pensionnaire de l’internat de «Maison de sagesse». L’établissement, sis sur l’avenue Bourguiba, n’accueille que des filles alors que l’école est mixte, précise Libération.
R. D. a déclaré que son directeur «trouvait toujours le moyen de se retrouver seul avec elle dans son bureau pour lui faire des attouchements sexuels et aussi lui adresser des paroles obscènes». Au total, jure la plaignante, Abdoulaye L. «a abusé sexuellement d’elle à cinq reprises».
Les deux premières fois, indique-t-elle, c’étaient des caresses aux seins. La troisième, un samedi, le directeur aurait posé un matelas à même le sol de son bureau, sorti des huiles de massage, lui aurait demandé de se mettre nue avant de l’inviter à «monter sur lui», rapporte Libération.
seneweb
D’après Libération, qui révèle cette affaire, le mis en cause a rejeté les accusations face aux enquêteurs. «Mais ses arguments ont été démontés par le bornage de son téléphone, mais aussi ses multiples contradictions», objecte le journal.
Abdoulaye L. semble avoir été enfoncé par les témoignages détaillés de sa victime présumée. Celle-ci se nomme R. D., 17 ans. Elle est pensionnaire de l’internat de «Maison de sagesse». L’établissement, sis sur l’avenue Bourguiba, n’accueille que des filles alors que l’école est mixte, précise Libération.
R. D. a déclaré que son directeur «trouvait toujours le moyen de se retrouver seul avec elle dans son bureau pour lui faire des attouchements sexuels et aussi lui adresser des paroles obscènes». Au total, jure la plaignante, Abdoulaye L. «a abusé sexuellement d’elle à cinq reprises».
Les deux premières fois, indique-t-elle, c’étaient des caresses aux seins. La troisième, un samedi, le directeur aurait posé un matelas à même le sol de son bureau, sorti des huiles de massage, lui aurait demandé de se mettre nue avant de l’inviter à «monter sur lui», rapporte Libération.
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