De l'économie de cette affaire, dakarposte tient que son plaignant n'est pas n'importe qui. En clair, c'est un colonel en service dans l'armée nationale, répondant sur ses initiales (E. D. N.) ;qui a fini par saisir Dame Justice. Selon ce haut gradé, son épouse avait contacté l'entrepreneur Ibrahima Dondé, patron de la société "Ets Ashaboul Yamine" pour la construction de sa villa.
Madame, l'épouse du Colonel avait alors presque payé rubis sur ongle la somme convenue avec l'entrepreneur, mais grande a été sa surprise de constater que depuis Juin 2013, les travaux entrepris ont été arrêtés alors que les gros oeuvres n'ont pas été achevés.
Madame aurait alors beau appeler l'entrepreneur pour avoir le coeur net sur la surprenante suspension des travaux. En vain. Pour toute réponse, Dondé aurait servi qu'il attendait des numéraires. "Ce qui signifie que l'argent a bien été utilisé; pis il est devenu injoignable" renchérit le plaignant.
Devant les enquêteurs,Mme l'épouse du colonel précisera avoir remis au sieur Dondé la somme de 13.600.000 cfa sur les 14.500.000 cfa convenus.
Il nous revient qu'entendu par les enquêteurs, l'entrepreneur a reconnu avoir signé un contrat de chantier pour la construction de la villa de Madame, l'épouse du Colonel à hauteur de 14.500.000 cfa. Non sans avouer avoir bel et bien les 13.600.000 cfa.
"A l'espace d'un mois, nous avons presque fini la construction et la dame m'avait demandé d'arrêter provisoirement les travaux car on parle trop de son batiment. Quelques temps, elle m'avait appelé pour me demander de continuer les travaux. Mais, en ce moment j'ai eu des difficultés financières car j'étais victime de vol de la part de mes ouvriers" a expliqué l'entrepreneur Ibrahima Dondé. Qui poursuit que Madame s'est alors rapproché de son mari "qui avait accepté de financer les travaux, précisément les portes et la métallique"
"Comme elle me devait de l'argent, car il restait un reliquat de 1.550.000 cfa du montant et les travaux supplémentaires (1.300.000 cfa) que j'avais réalisé et qui n'ont pas été prévus, je lui avais donné mon accord et que lors du décompte, il était convenu que nous ferons la différence. Contre toute attente, son époux me réclame la somme de 3.442.000 cfa" étaye l'entrepreneur.
Faux, balaie d'un revers de main le plaignant. Qui soutient mordicus que l'entrepreneur n'aurait pas su respecter sa parole, autrement dit honorer ses engagements de livrer la maison clef en main à date échue. Il arguera que son épouse a été la première à porter plainte pour abus de confiance. Ne sachant par quel saint se vouer, l'entrepreneur l'aurait alors solliciter pour qu'il lui donne un coup de pouce financièrement parlant. "Il s'était engagé à rembourser ultérieurement" a laissé entendre le gradé plaignant. Qui soutient que le sieur Ibrahima Dondé jouera après au chat et à la souris avec lui. "Ibrahima Dondé devenait de plus en plus injoignable et les rares fois que je parvenais à le joindre, il faisait des manoeuvres dilatoires" fulminera le Colonel.
C'en est alors suivi sa plainte pour abus de confiance.
Dakarposte vous promet d'y revenir!
Madame, l'épouse du Colonel avait alors presque payé rubis sur ongle la somme convenue avec l'entrepreneur, mais grande a été sa surprise de constater que depuis Juin 2013, les travaux entrepris ont été arrêtés alors que les gros oeuvres n'ont pas été achevés.
Madame aurait alors beau appeler l'entrepreneur pour avoir le coeur net sur la surprenante suspension des travaux. En vain. Pour toute réponse, Dondé aurait servi qu'il attendait des numéraires. "Ce qui signifie que l'argent a bien été utilisé; pis il est devenu injoignable" renchérit le plaignant.
Devant les enquêteurs,Mme l'épouse du colonel précisera avoir remis au sieur Dondé la somme de 13.600.000 cfa sur les 14.500.000 cfa convenus.
Il nous revient qu'entendu par les enquêteurs, l'entrepreneur a reconnu avoir signé un contrat de chantier pour la construction de la villa de Madame, l'épouse du Colonel à hauteur de 14.500.000 cfa. Non sans avouer avoir bel et bien les 13.600.000 cfa.
"A l'espace d'un mois, nous avons presque fini la construction et la dame m'avait demandé d'arrêter provisoirement les travaux car on parle trop de son batiment. Quelques temps, elle m'avait appelé pour me demander de continuer les travaux. Mais, en ce moment j'ai eu des difficultés financières car j'étais victime de vol de la part de mes ouvriers" a expliqué l'entrepreneur Ibrahima Dondé. Qui poursuit que Madame s'est alors rapproché de son mari "qui avait accepté de financer les travaux, précisément les portes et la métallique"
"Comme elle me devait de l'argent, car il restait un reliquat de 1.550.000 cfa du montant et les travaux supplémentaires (1.300.000 cfa) que j'avais réalisé et qui n'ont pas été prévus, je lui avais donné mon accord et que lors du décompte, il était convenu que nous ferons la différence. Contre toute attente, son époux me réclame la somme de 3.442.000 cfa" étaye l'entrepreneur.
Faux, balaie d'un revers de main le plaignant. Qui soutient mordicus que l'entrepreneur n'aurait pas su respecter sa parole, autrement dit honorer ses engagements de livrer la maison clef en main à date échue. Il arguera que son épouse a été la première à porter plainte pour abus de confiance. Ne sachant par quel saint se vouer, l'entrepreneur l'aurait alors solliciter pour qu'il lui donne un coup de pouce financièrement parlant. "Il s'était engagé à rembourser ultérieurement" a laissé entendre le gradé plaignant. Qui soutient que le sieur Ibrahima Dondé jouera après au chat et à la souris avec lui. "Ibrahima Dondé devenait de plus en plus injoignable et les rares fois que je parvenais à le joindre, il faisait des manoeuvres dilatoires" fulminera le Colonel.
C'en est alors suivi sa plainte pour abus de confiance.
Dakarposte vous promet d'y revenir!