Les malades et leurs accompagnants vivent un véritable calvaire au niveau de la caisse centrale de l'hôpital Abass Ndao de Dakar. Chaque matin, c'est de longues et interminables files indiennes qu'on constate sur place. Chacun attendant avec impatience que le préposé à la caisse appelle son nom. Et, vous savez quoi ? C'est juste pour débourser de l'argent et se procurer le sésame: Un ticket de consultation.
Cette situation "d'exception" s'explique par le fait qu'il n'y aurait qu'un seul guichet qui fonctionne pour ces centaines et centaines de personnes qui défilent chaque jour à l'hôpital Abass Ndao. Du moins, selon les informations que nous avons recueillies sur place auprès de malades ou leurs accompagnants. Les autres machines seraient vraisemblablement tombées en panne. L'heure est grave, l'attente devient intenable dans ce service incontournable de l'hôpital Abass Ndao. Dés lors, il urge que les autorités de cet établissement sanitaire trouvent très vite une solution à ce problème. Car, rien que cette attente, on ne peut plus longue, peut aggraver le cas des malades dans cette salle exiguë où règne une chaleur insupportable par certains organismes. Et ce, en dépit des ventilateurs installés sur les lieux et qui, toujours, sont tous ou presque mis en marche.
Cette situation "d'exception" s'explique par le fait qu'il n'y aurait qu'un seul guichet qui fonctionne pour ces centaines et centaines de personnes qui défilent chaque jour à l'hôpital Abass Ndao. Du moins, selon les informations que nous avons recueillies sur place auprès de malades ou leurs accompagnants. Les autres machines seraient vraisemblablement tombées en panne. L'heure est grave, l'attente devient intenable dans ce service incontournable de l'hôpital Abass Ndao. Dés lors, il urge que les autorités de cet établissement sanitaire trouvent très vite une solution à ce problème. Car, rien que cette attente, on ne peut plus longue, peut aggraver le cas des malades dans cette salle exiguë où règne une chaleur insupportable par certains organismes. Et ce, en dépit des ventilateurs installés sur les lieux et qui, toujours, sont tous ou presque mis en marche.