Les agriculteurs français en colère se rapprochent de Paris et de l'immense marché au produit frais de Rungis.
Un convoi de 200 à 300 tracteurs est parti du sud-ouest et a atteint Orléans alors qu'au nord de la capitale, d'autres agriculteurs bloquent l'autoroute A1 à une quarantaine de kilomètres de la capitale.
Guillaume Chartier : "Des promesses, des promesses, des paroles et des paroles, mais pas d'actes. Nous attendons les actes et en fonction des actes, on verra si on lève le camp ou pas".
Abély, female farmer : "On montera sur Paris s'il faut monter sur Paris. Après, moi personnellement, je pense que bloquer les nationales qui mènent à Paris... Moi d'être aux Champs-Élysées ça ne m'intéresse pas forcément".
Les négociations et l'exécutif tente d'apaiser la colère des agriculteurs.
Gabriel Attal Premier ministre français : "Et, bien sûr, nous avons mené une action résolue pour assurer la souveraineté agricole de notre pays. Je le dis ici solennellement, il y a et il doit y avoir une exception agricole française. Je suis lucide. Je suis lucide face à l'empilement des normes, face aux décisions qui tombent d'en haut et qui parfois tombent d'on ne sait où. Nous serons là, sans aucune ambiguïté".
Les syndicats agricoles espagnols observent les convois de tracteurs français et certains promettent des "mobilisations" dans les "prochaines semaines."
Julio Villaescusa, président du syndicat Fenadismer : "Chaque jour, près de 12 000 camions traversent la frontière de La Jonquera et 10 000 traversent la frontière d'Irún. Pour nous, la France, en plus d'être une destination, est un pays de transit obligatoire.
Plus au nord, en Belgique, là encore des agriculteurs bloquent des routes et des autoroutes, notamment la E19 qui mène à Bruxelles.
La simplification des normes et des procédures administratives et au cœur de leurs revendications.
En Italie, à une heure de Rome, une cinquantaine de tracteurs bloquent une sortie d'autoroute depuis trois jours.
Les agriculteurs italiens protestent eux aussi contre les politiques agricoles européennes, la hausse des coûts de production et la baisse des subventions pour l'achats des carburants.
Un convoi de 200 à 300 tracteurs est parti du sud-ouest et a atteint Orléans alors qu'au nord de la capitale, d'autres agriculteurs bloquent l'autoroute A1 à une quarantaine de kilomètres de la capitale.
Guillaume Chartier : "Des promesses, des promesses, des paroles et des paroles, mais pas d'actes. Nous attendons les actes et en fonction des actes, on verra si on lève le camp ou pas".
Abély, female farmer : "On montera sur Paris s'il faut monter sur Paris. Après, moi personnellement, je pense que bloquer les nationales qui mènent à Paris... Moi d'être aux Champs-Élysées ça ne m'intéresse pas forcément".
Les négociations et l'exécutif tente d'apaiser la colère des agriculteurs.
Gabriel Attal Premier ministre français : "Et, bien sûr, nous avons mené une action résolue pour assurer la souveraineté agricole de notre pays. Je le dis ici solennellement, il y a et il doit y avoir une exception agricole française. Je suis lucide. Je suis lucide face à l'empilement des normes, face aux décisions qui tombent d'en haut et qui parfois tombent d'on ne sait où. Nous serons là, sans aucune ambiguïté".
Les syndicats agricoles espagnols observent les convois de tracteurs français et certains promettent des "mobilisations" dans les "prochaines semaines."
Julio Villaescusa, président du syndicat Fenadismer : "Chaque jour, près de 12 000 camions traversent la frontière de La Jonquera et 10 000 traversent la frontière d'Irún. Pour nous, la France, en plus d'être une destination, est un pays de transit obligatoire.
Plus au nord, en Belgique, là encore des agriculteurs bloquent des routes et des autoroutes, notamment la E19 qui mène à Bruxelles.
La simplification des normes et des procédures administratives et au cœur de leurs revendications.
En Italie, à une heure de Rome, une cinquantaine de tracteurs bloquent une sortie d'autoroute depuis trois jours.
Les agriculteurs italiens protestent eux aussi contre les politiques agricoles européennes, la hausse des coûts de production et la baisse des subventions pour l'achats des carburants.