Il a été interpellé, la tête de sa mère entre les mains. Un jeune homme de 25 ans a décapité sa mère à Courbevoie lundi soir. « Il lui hurlait Dieu ! » et « lui répétait de se mettre à genoux », a raconté une voisine, sous le choc. Paris Match publie le témoignage des voisins raconté à Le Parisien.
Des habitants de l’immeuble ont assisté à la scène insoutenable. Lundi soir, Jean-Claude D., un Franco-Sénégalais, a éviscéré et décapité sa mère, au cours de ce qui s’apparente à une crise de démence.
Le drame s’est joué vers 21 h 30, au huitième étage d’un immeuble de la place Charras. Une habitante a « tout entendu » et « tout vu » à travers le judas de sa porte. « Il hurlait Dieu ! Dieu ! Dieu ! Sans cesse. Sa mère appelait au secours, demandait qu’on appelle la police, a raconté une amie de la voisine au “Parisien”. Il lui répétait de se mettre à genoux. C’était terrifiant... »
Le gardien de l’immeuble explique lui qu’il a croisé le jeune homme plus tôt dans la journée. Ce dernier était venu lui réclamer son double de clé, prétextant qu’il avait égaré les siennes. « Son regard était très sombre, il n’était pas dans son état normal. C’est seulement ce matin que j’ai compris... », s’est-il souvenu auprès du quotidien.
Alertée par les voisins, la police est intervenue. Elle a dû faire face à un individu « surexcité » qui a été neutralisé après plusieurs décharges de pistolet à impulsion électrique. Dans l’appartement, les policiers ont découvert le corps éviscéré de la mère, âgée de 53 ans, ainsi qu’un couteau en céramique et des ciseaux qui ont pu servir à commettre le crime. Elle présentait une plaie béante au niveau du thorax et de larges blessures un peu partout sur le corps, détaille « Le Parisien ». Le quotidien précise que la femme, née au Sénégal, vivait seule avec son fils.
Le jeune homme a aussitôt été hospitalisé. Vu son état, il ne pourra pas être entendu de sitôt su cette affaire.Il était connu des services de police pour des faits de violences, commis en 2014 et 2016. Mais, il ne présentait aucun antécédent psychologique. Selon Paris Match, une analyse toxicologique est en cours pour savoir s’il était sous l’emprise de stupéfiants.
Des habitants de l’immeuble ont assisté à la scène insoutenable. Lundi soir, Jean-Claude D., un Franco-Sénégalais, a éviscéré et décapité sa mère, au cours de ce qui s’apparente à une crise de démence.
Le drame s’est joué vers 21 h 30, au huitième étage d’un immeuble de la place Charras. Une habitante a « tout entendu » et « tout vu » à travers le judas de sa porte. « Il hurlait Dieu ! Dieu ! Dieu ! Sans cesse. Sa mère appelait au secours, demandait qu’on appelle la police, a raconté une amie de la voisine au “Parisien”. Il lui répétait de se mettre à genoux. C’était terrifiant... »
Le gardien de l’immeuble explique lui qu’il a croisé le jeune homme plus tôt dans la journée. Ce dernier était venu lui réclamer son double de clé, prétextant qu’il avait égaré les siennes. « Son regard était très sombre, il n’était pas dans son état normal. C’est seulement ce matin que j’ai compris... », s’est-il souvenu auprès du quotidien.
Alertée par les voisins, la police est intervenue. Elle a dû faire face à un individu « surexcité » qui a été neutralisé après plusieurs décharges de pistolet à impulsion électrique. Dans l’appartement, les policiers ont découvert le corps éviscéré de la mère, âgée de 53 ans, ainsi qu’un couteau en céramique et des ciseaux qui ont pu servir à commettre le crime. Elle présentait une plaie béante au niveau du thorax et de larges blessures un peu partout sur le corps, détaille « Le Parisien ». Le quotidien précise que la femme, née au Sénégal, vivait seule avec son fils.
Le jeune homme a aussitôt été hospitalisé. Vu son état, il ne pourra pas être entendu de sitôt su cette affaire.Il était connu des services de police pour des faits de violences, commis en 2014 et 2016. Mais, il ne présentait aucun antécédent psychologique. Selon Paris Match, une analyse toxicologique est en cours pour savoir s’il était sous l’emprise de stupéfiants.