Après avoir bouclé deux semaines de discussions et d’échanges au Sénégal, la mission du Fonds Monétaire International (FMI) livre ses conclusions. Lors de la conférence de presse tenue ce matin par le chef de mission M. Edward R Gemayel, la question des finances publiques a été abordée. En effet, les efforts entamés par le nouveau régime doivent, selon le fonds monétaire international, se poursuivre vers 2024 et 2025 à quatre niveaux.
D’abord, la mobilisation des recettes fiscales pour atteindre les objectifs du gouvernement, la rationalisation des exonérations qui pèse beaucoup sur le budget selon Edward R Gemayel qui estime que c’est un manque à gagner assez considérable et qui sont estimé à près de 900 milliards.
Mais également la réduction progressive des subventions à l’énergie qui ont malheureusement coûté cette année au delà de 500 milliards de francs CFA. Elles sont non ciblées et très coûteuses , regrette la mission du FMI au Sénégal. D’ailleurs, le cumul des trois années, il a été enregistré un montant de près de 1800 milliards de francs CFA sur les subventions non ciblées. « Il serait important que ces subventions soient ciblées et reviennent aux structures qui en ont vraiment besoin. », a considéré le chef de mission du FMI qui oriente le nouveau régime vers l’opportunité de l’augmentation des dépenses sociales qui doit interpeller les nouvelles autorités.
dakaractu
D’abord, la mobilisation des recettes fiscales pour atteindre les objectifs du gouvernement, la rationalisation des exonérations qui pèse beaucoup sur le budget selon Edward R Gemayel qui estime que c’est un manque à gagner assez considérable et qui sont estimé à près de 900 milliards.
Mais également la réduction progressive des subventions à l’énergie qui ont malheureusement coûté cette année au delà de 500 milliards de francs CFA. Elles sont non ciblées et très coûteuses , regrette la mission du FMI au Sénégal. D’ailleurs, le cumul des trois années, il a été enregistré un montant de près de 1800 milliards de francs CFA sur les subventions non ciblées. « Il serait important que ces subventions soient ciblées et reviennent aux structures qui en ont vraiment besoin. », a considéré le chef de mission du FMI qui oriente le nouveau régime vers l’opportunité de l’augmentation des dépenses sociales qui doit interpeller les nouvelles autorités.
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