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Festival Salam Festival satan Dites à Youssou Ndour Qu'il devait au moins laisser satan tranquille durant ce mois de ramadan

Rédigé par Dakarposte le Vendredi 17 Juin 2016 à 22:10

Mor Dieng, Malick Gakou, Me Abdoulaye Babou, Elène Tine, Oumar Khassimou Dia, Abdou Khadre Ndiaye, Maladou Ly, Mamadou Goumabala… la liste est loin d’être exhaustive.  Ils sont nombreux les responsables, militant de la première heure de l’Alliance des forces de progrès (AFP) à avoir tourné le dos à Moustapha NIASSE. Ce jeudi, à l’occasion du 17e anniversaire du parti progressiste, le président de l’Assemblée nationale n’avait presque personne parmi les responsables avec qui il avait annoncé la naissance de son parti qui avait, par la suite, grandement participé à la victoire de Me Abdoulaye WADE à la présidentielle de 2000. Des membres fondateurs, il ne reste pratiquement plus que Madieyna Diouf et Ousmane Samb. Des départs qui sont ponctués par la fermeture de nombreuses permanences du parti, notamment à Yeumbeul nord et sud, Guédiawaye.
Et aussi curieux que cela puisse paraître, tous ces caciques de l’AFP qui sont partis l’ont fait pointant d’un doigt accusateur un Moustapha NIASSE dictateur, décidant de tout, tout seul. «A l’Afp, la démocratie est une camisole que Niasse porte quand ça l’arrange», déclarait dernièrement Abdou Khadre Ndiaye dans les colonnes du journal Enquête. La même accusation sera portée par de nombreux dissidents de l’AFP.
Pendant ce temps, Moustapha NIASSE, confortablement installé sur le fauteuil de président de l’Assemblée nationale, refuse de voir son parti se faire enterrer, pendant que lui est encore debout. «Personne ne digérera l’AFP. Jamais l’Afp n’acceptera de se dissoudre dans un autre parti», a-t-il insisté.
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