Le ministère des Finances et du Budget a récemment publié le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle pour la période 2025-2027, offrant une vue d’ensemble des projections financières du pays.
Selon ce document, les ressources budgétaires globales pour l’année 2025 sont estimées à 5 677,7 milliards FCFA (environ 8,63 millions d’euros), représentant une augmentation de 15,5% par rapport au montant révisé de 2024. Cette progression reflète les efforts du gouvernement pour accroître les recettes fiscales et optimiser les ressources publiques.
Sur la période 2025-2027, les ressources budgétaires devraient suivre une tendance haussière avec un taux moyen de progression de 19%. La pression fiscale est projetée à une moyenne de 21,2%, en hausse par rapport aux 20,1% prévus pour 2024. Les dépenses totales pour 2025 sont programmées à 6 390,2 milliards FCFA, marquant une augmentation de 8,7% par rapport aux prévisions révisées de 2024.
Pour les investissements globaux, ils sont estimés à 1 811,5 milliards FCFA, répartis entre 1 087,1 milliards FCFA provenant de ressources internes et 724,4 milliards FCFA de ressources externes. En ce qui concerne la dette publique, à fin décembre 2023, l’encours de la dette de l’administration centrale est évalué à 13 772,8 milliards FCFA, soit une augmentation de 16,9% par rapport à 2022. La dette en devises étrangères représente 65,3% du total, contre 34,7% pour la dette en FCFA.
L’actuel régime a critiqué l’exercice budgétaire de 2024 pour un manque de sincérité, avec un budget annoncé de 7 003 milliards FCFA. Cependant, selon Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, ce budget se situerait plutôt autour de 5 000 milliards FCFA, soulevant des questions sur la transparence et la gestion budgétaire.
L’encours de la dette à court terme en devises étrangères est de 111,9 milliards FCFA, tandis que celle à moyen et long terme s’élève à 13 660,9 milliards FCFA, représentant 99% du portefeuille de la dette. En termes de résidence, 16,8% du stock de dette est détenu par des résidents sénégalais, soit 2 317,08 milliards FCFA, contre 83,2% détenus par des non-résidents, soit 9 191,3 milliards FCFA.
rts
Selon ce document, les ressources budgétaires globales pour l’année 2025 sont estimées à 5 677,7 milliards FCFA (environ 8,63 millions d’euros), représentant une augmentation de 15,5% par rapport au montant révisé de 2024. Cette progression reflète les efforts du gouvernement pour accroître les recettes fiscales et optimiser les ressources publiques.
Sur la période 2025-2027, les ressources budgétaires devraient suivre une tendance haussière avec un taux moyen de progression de 19%. La pression fiscale est projetée à une moyenne de 21,2%, en hausse par rapport aux 20,1% prévus pour 2024. Les dépenses totales pour 2025 sont programmées à 6 390,2 milliards FCFA, marquant une augmentation de 8,7% par rapport aux prévisions révisées de 2024.
Pour les investissements globaux, ils sont estimés à 1 811,5 milliards FCFA, répartis entre 1 087,1 milliards FCFA provenant de ressources internes et 724,4 milliards FCFA de ressources externes. En ce qui concerne la dette publique, à fin décembre 2023, l’encours de la dette de l’administration centrale est évalué à 13 772,8 milliards FCFA, soit une augmentation de 16,9% par rapport à 2022. La dette en devises étrangères représente 65,3% du total, contre 34,7% pour la dette en FCFA.
L’actuel régime a critiqué l’exercice budgétaire de 2024 pour un manque de sincérité, avec un budget annoncé de 7 003 milliards FCFA. Cependant, selon Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, ce budget se situerait plutôt autour de 5 000 milliards FCFA, soulevant des questions sur la transparence et la gestion budgétaire.
L’encours de la dette à court terme en devises étrangères est de 111,9 milliards FCFA, tandis que celle à moyen et long terme s’élève à 13 660,9 milliards FCFA, représentant 99% du portefeuille de la dette. En termes de résidence, 16,8% du stock de dette est détenu par des résidents sénégalais, soit 2 317,08 milliards FCFA, contre 83,2% détenus par des non-résidents, soit 9 191,3 milliards FCFA.
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