Epouse de l’ex-ministre des Affaires étrangère, Ndèye Mbacké, elle a décidé de militer au Grand Parti de Malick Gackou. Mais, Ndèye Mbacké a bourlingué un peu partout avant de déposer ses baluchons chez Gackou. Elle a d'abord été militante du Pds avant de souscrire aux idéaux de l'APR.
D'ailleurs, dans une interview qu'elle avait accordé à nos confrères de l'OBS, Ndèye Mbacké soutenait mordicus qu'elle ne doit rien à son ex mari (ndlr: Me Madické Niang).
"Il m’a trouvé dans l’opulence. Les gens pensent que je lui dois tout. Tel n’est pas le cas. Il nous a trouvés dans la richesse. Il ne dira pas le contraire. Quand il m’a épousée, Me Abdoulaye Wade était dans l’opposition. Ma mère n’a jamais sollicité Madické Niang pour quoique ce soit. Il lui remettait souvent tout juste 100 000 FCFA pour son «sucre du Ramadan", disait-elle à nos confrères de la Médina.
La dame de préciser encore qu’elle n’a jamais bouffé un seul franc du régime libéral. "Je travaillais dans le privé à la Bicis (Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal) comme Chargée des relations administratives. Le ministre de l’Economie et des Finances, Ahmadou Kane, était, à ce temps-là, le Directeur général. En raison de mon Cv (Curriculum vitae), il m’avait donné ces responsabilités. J’ai été obligée de démissionner plus tard, puisque j’étais enceinte. Je ne pouvais pas m’absenter à tout moment en donnant l’occasion aux employés de dire que j’étais l’épouse d’un ministre. C’est pourquoi, je me permettais des écarts dans ma conduite. Ahmadou Kane a gardé pendant deux mois ma lettre de démission, puisqu’il ne voulait pas que je quitte la banque. Quand j’étais à la Bceao (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest), j’ai été aussi obligée de démissionner pour des raisons de grossesse. Madické Niang voulait que je sois femme au foyer. Ce qui a toujours été notre pomme de discorde. Feu Serigne Bara Mbacké, par l’entremise d’un émissaire, m’avait mise en rapport avec le ministre Serigne Modou Bousso Lèye, qui m’avait nommée conseillère technique au ministère de la Culture avec un contrat spécial. Après 15 jours de service, Madické Niang m’a fait renvoyer puisqu’il voulait que je sois une femme au foyer. J’ai alors dit à Madické Niang : "Vous m’avez fait renvoyer, mais je combattrai le régime libéral". Je suis allée à Touba sur leurs traces. Les libéraux distribuaient des mallettes d’argent aux marabouts. J’ai fait le tour des marabouts pour leur dire de ne pas donner de consigne de vote en faveur de Me Wade, dont le régime était finissant", racontait-t-elle.
D'ailleurs, dans une interview qu'elle avait accordé à nos confrères de l'OBS, Ndèye Mbacké soutenait mordicus qu'elle ne doit rien à son ex mari (ndlr: Me Madické Niang).
"Il m’a trouvé dans l’opulence. Les gens pensent que je lui dois tout. Tel n’est pas le cas. Il nous a trouvés dans la richesse. Il ne dira pas le contraire. Quand il m’a épousée, Me Abdoulaye Wade était dans l’opposition. Ma mère n’a jamais sollicité Madické Niang pour quoique ce soit. Il lui remettait souvent tout juste 100 000 FCFA pour son «sucre du Ramadan", disait-elle à nos confrères de la Médina.
La dame de préciser encore qu’elle n’a jamais bouffé un seul franc du régime libéral. "Je travaillais dans le privé à la Bicis (Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal) comme Chargée des relations administratives. Le ministre de l’Economie et des Finances, Ahmadou Kane, était, à ce temps-là, le Directeur général. En raison de mon Cv (Curriculum vitae), il m’avait donné ces responsabilités. J’ai été obligée de démissionner plus tard, puisque j’étais enceinte. Je ne pouvais pas m’absenter à tout moment en donnant l’occasion aux employés de dire que j’étais l’épouse d’un ministre. C’est pourquoi, je me permettais des écarts dans ma conduite. Ahmadou Kane a gardé pendant deux mois ma lettre de démission, puisqu’il ne voulait pas que je quitte la banque. Quand j’étais à la Bceao (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest), j’ai été aussi obligée de démissionner pour des raisons de grossesse. Madické Niang voulait que je sois femme au foyer. Ce qui a toujours été notre pomme de discorde. Feu Serigne Bara Mbacké, par l’entremise d’un émissaire, m’avait mise en rapport avec le ministre Serigne Modou Bousso Lèye, qui m’avait nommée conseillère technique au ministère de la Culture avec un contrat spécial. Après 15 jours de service, Madické Niang m’a fait renvoyer puisqu’il voulait que je sois une femme au foyer. J’ai alors dit à Madické Niang : "Vous m’avez fait renvoyer, mais je combattrai le régime libéral". Je suis allée à Touba sur leurs traces. Les libéraux distribuaient des mallettes d’argent aux marabouts. J’ai fait le tour des marabouts pour leur dire de ne pas donner de consigne de vote en faveur de Me Wade, dont le régime était finissant", racontait-t-elle.