Le couple Diallo a comparu devant la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar pour répondre des faits d'escroquerie portant sur une somme de 72 millions de francs cfa. En effet, elle a fait miroiter à sa belle-mère ses aptitudes de voyante pour lui soutirer des sommes colossales. Ils ont été placés sous mandat de dépôt depuis le 02 septembre dernier.
À la barre, le prévenu A. Diallo a maintenu ses déclarations tenues à l'enquête préliminaire, affimant qu'il ignorait que son épouse soutirait de l'argent à sa mère. Contrairement à son épouse qui a reconnu les faits, alléguant même avoir été sous l'emprise d'une personne résidant à Tambacounda qui l'a envoûtée. Selon elle, ce dernier lui réclamait d'énormes sommes d'argent, et à chaque fois, elle sollicitait sa belle-mère.
Le parquet a requis l'application de la loi.
Quant à la défense assurée par Me Bamar Sarr, elle affirme qu'il y a plusieurs zones d'ombre dans cette affaire : "Personne ne peut dire avec exactitude le nombre de retraits effectués par les prévenus. Selon Me Sarr, la construction de la maison familiale engagée par la défunte est presque prête.
Ainsi convaincu qu'il y a un doute qui plane dans cette procédure, la robe noire sollicitera la relaxe pure et simple à titre principal, ou à titre subsidiaire, la relaxe au bénéfice du doute.
Le tribunal en rendant son verdict a relaxé le mari A. Diallo avant de condamner l'épouse I. Diallo à 6 mois de prison assorti de sursis.
À la barre, le prévenu A. Diallo a maintenu ses déclarations tenues à l'enquête préliminaire, affimant qu'il ignorait que son épouse soutirait de l'argent à sa mère. Contrairement à son épouse qui a reconnu les faits, alléguant même avoir été sous l'emprise d'une personne résidant à Tambacounda qui l'a envoûtée. Selon elle, ce dernier lui réclamait d'énormes sommes d'argent, et à chaque fois, elle sollicitait sa belle-mère.
Le parquet a requis l'application de la loi.
Quant à la défense assurée par Me Bamar Sarr, elle affirme qu'il y a plusieurs zones d'ombre dans cette affaire : "Personne ne peut dire avec exactitude le nombre de retraits effectués par les prévenus. Selon Me Sarr, la construction de la maison familiale engagée par la défunte est presque prête.
Ainsi convaincu qu'il y a un doute qui plane dans cette procédure, la robe noire sollicitera la relaxe pure et simple à titre principal, ou à titre subsidiaire, la relaxe au bénéfice du doute.
Le tribunal en rendant son verdict a relaxé le mari A. Diallo avant de condamner l'épouse I. Diallo à 6 mois de prison assorti de sursis.