Pourtant inscrite au rôle au tribunal de Dakar le procès de Mamadou Diop a été encore ajourné au 22 novembre prochain.
Pour rappel, Mamadou Diop, c'est ce défunt étudiant "écrasé" par le dragon de la police lors des manifestations de 2012 contre le troisième mandat du Président Abdoulaye Wade.
Cette affaire a connu beaucoup de rebondissement. Au début, les policiers n’ont jamais cherché à se faire représenter par un avocat. Il y avait quatre (4) agents judiciaires de l’Etat qui s’étaient présentés avec l’un des accusés.
Ils étaient là pour défendre les intérêts de l’Etat, puisque c’est en son nom et avec ses moyens que les policiers auraient commis l’acte. Coup de théâtre. En juillet dernier, on apprend que l’un des policiers incriminés se trouvait en mission au Mali.
Ce qu’il faut noter, c’est que l’instruction a démarré en 2012, et si les poursuites ont été rendues possibles, c’est grâce à la collaboration du haut commandant de la Gendarmerie, le Général Faye. C’est lui qui a en effet signé l’ordre de poursuite contre les policiers.
A noter que dans cette affaire, les policiers n’ont jamais accepté de se présenter devant le tribunal, sauf en mai. Et à aussi, ils étaient en compagnie de leur chef. Et le changement du président du tribunal régional de Dakar a un peu chamboulé les choses.
Dakarposte avec senenws
Pour rappel, Mamadou Diop, c'est ce défunt étudiant "écrasé" par le dragon de la police lors des manifestations de 2012 contre le troisième mandat du Président Abdoulaye Wade.
Cette affaire a connu beaucoup de rebondissement. Au début, les policiers n’ont jamais cherché à se faire représenter par un avocat. Il y avait quatre (4) agents judiciaires de l’Etat qui s’étaient présentés avec l’un des accusés.
Ils étaient là pour défendre les intérêts de l’Etat, puisque c’est en son nom et avec ses moyens que les policiers auraient commis l’acte. Coup de théâtre. En juillet dernier, on apprend que l’un des policiers incriminés se trouvait en mission au Mali.
Ce qu’il faut noter, c’est que l’instruction a démarré en 2012, et si les poursuites ont été rendues possibles, c’est grâce à la collaboration du haut commandant de la Gendarmerie, le Général Faye. C’est lui qui a en effet signé l’ordre de poursuite contre les policiers.
A noter que dans cette affaire, les policiers n’ont jamais accepté de se présenter devant le tribunal, sauf en mai. Et à aussi, ils étaient en compagnie de leur chef. Et le changement du président du tribunal régional de Dakar a un peu chamboulé les choses.
Dakarposte avec senenws