Deuxième fournisseur d'assistance militaire à l'Ukraine après les Etats-Unis, l'Allemagne cherche à rassurer après que Kiev s'est inquiété de l'avenir du soutien de ses alliés, mobilisés par l'éclatement de la guerre au Proche-Orient.
"Je suis à nouveau ici, tout d'abord pour promettre un soutien supplémentaire, mais aussi pour exprimer notre solidarité et nos liens profonds, ainsi que notre admiration pour le combat courageux, brave et coûteux qui est mené ici", a déclaré M. Pistorius en déposant des fleurs sur la place Maïdan, dans le centre de Kiev.
M. Pistorius est arrivé en train et devait s'entretenir avec son homologue ukrainien ainsi qu'avec le président Volodymyr Zelensky.
Cette visite intervient après une intensification des attaques aériennes russes sur l'Ukraine et alors que Kiev se prépare à une augmentation des frappes sur les installations énergétiques du pays au cours de l'hiver.
Il s'agit de la deuxième visite de M. Pistorius à Kiev depuis qu'il est devenu ministre de la Défense au début de l'année, et elle intervient au lendemain d'un déplacement en Ukraine, lui aussi à l'improviste, du secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin.
Outre la cérémonie de dépôt de gerbes sur la place Maïdan, où des milliers de personnes avaient manifesté pendant des semaines il y a dix ans pour réclamer des réformes démocratiques, M. Pistorius devait visiter un centre d'entraînement militaire.
Après quelques hésitations initiales, l'Allemagne a considérablement renforcé son soutien à l'Ukraine à la suite de l'invasion russe et a livré à Kiev une large gamme d'armements, allant des chars de combat lourds aux systèmes de défense aérienne et aux munitions.
Le conflit a également incité le gouvernement à financer le renforcement des forces armées allemandes, le chancelier Olaf Scholz ayant annoncé qu'un fonds de 100 milliards d'euros y sera consacré.
Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, l'Allemagne a fermement soutenu Israël dans sa lutte contre le mouvement islamiste palestinien.
Le mois dernier, M. Scholz a toutefois promis que l'Allemagne maintiendra son aide à Kiev, affirmant: "Nous soutiendrons l'Ukraine aussi longtemps que nécessaire".
"Je suis à nouveau ici, tout d'abord pour promettre un soutien supplémentaire, mais aussi pour exprimer notre solidarité et nos liens profonds, ainsi que notre admiration pour le combat courageux, brave et coûteux qui est mené ici", a déclaré M. Pistorius en déposant des fleurs sur la place Maïdan, dans le centre de Kiev.
M. Pistorius est arrivé en train et devait s'entretenir avec son homologue ukrainien ainsi qu'avec le président Volodymyr Zelensky.
Cette visite intervient après une intensification des attaques aériennes russes sur l'Ukraine et alors que Kiev se prépare à une augmentation des frappes sur les installations énergétiques du pays au cours de l'hiver.
Il s'agit de la deuxième visite de M. Pistorius à Kiev depuis qu'il est devenu ministre de la Défense au début de l'année, et elle intervient au lendemain d'un déplacement en Ukraine, lui aussi à l'improviste, du secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin.
Outre la cérémonie de dépôt de gerbes sur la place Maïdan, où des milliers de personnes avaient manifesté pendant des semaines il y a dix ans pour réclamer des réformes démocratiques, M. Pistorius devait visiter un centre d'entraînement militaire.
Après quelques hésitations initiales, l'Allemagne a considérablement renforcé son soutien à l'Ukraine à la suite de l'invasion russe et a livré à Kiev une large gamme d'armements, allant des chars de combat lourds aux systèmes de défense aérienne et aux munitions.
Le conflit a également incité le gouvernement à financer le renforcement des forces armées allemandes, le chancelier Olaf Scholz ayant annoncé qu'un fonds de 100 milliards d'euros y sera consacré.
Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, l'Allemagne a fermement soutenu Israël dans sa lutte contre le mouvement islamiste palestinien.
Le mois dernier, M. Scholz a toutefois promis que l'Allemagne maintiendra son aide à Kiev, affirmant: "Nous soutiendrons l'Ukraine aussi longtemps que nécessaire".