En marge des Assemblées annuelles du Fonds monétaire international (Fmi) et du groupe de la banque mondiale qui se tiennent à Washington depuis le 6 octobre pour se terminer ce dimanche 9, le Sénégal vient de parvenir à signer quatre (4) conventions de financement, pour un montant global de 125 milliards de FCFA.
Dans les locaux de son ambassade à Washington, le Sénégal s’est accordé avec la Banque européenne d’investissement (BEI) ce vendredi 7 octobre, pour le financement d’un montant d’environ 65,595 milliards de FCFA à la réalisation d’une usine de traitement d’eau potable à Keur Momar Sarr sous forme de prêt concessionnel. L’usine sera ainsi rétrocédée à la Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) : à hauteur de 85% sous forme de subvention, et de 15% sous forme de prêt.
Ce financement vient compléter, selon un communiqué du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, le plan d’actions prioritaires 2014-2018 du Plan Sénégal émergent (PSE), soit à l’axe 2, à savoir « capital humain, protection sociale et développement durable ». Bénéficiant du cofinancement de la Bm, de la Bad (Banque africaine de développement), de l’Afd (Agence française de développement) et de la Bid (Banque islamique de développement), en plus de la contrepartie financière de l’Etat du Sénégal, le « projet consiste à assurer une bonne alimentation de la capitale (Dakar) en eau potable et à sécuriser la fourniture d’eau potable pour faire face au défi de l’absence de ressources suffisantes et d’une croissance démographique, plus importante que prévue ces dernières années. »
La seconde convention signée avec la Bid matérialise le financement partiel du Programme de développement des domaines agricoles communautaires (PRODAC) d’un montant de 47 754 000 000 (plus de 47 milliards) de FCFA. A travers ce projet avec le PRODAC, l’Etat du Sénégal va ainsi « réaliser des domaines agricoles communautaires, qui seront des incubateurs de jeunes entrepreneurs agricoles notamment en milieu rural. A terme, ces domaines agricoles, d’une superficie allant de 1000 à 5000 hectares, vont permettre de créer plus de trois cent mille (300 000) emplois dans l’agriculture, la pisciculture, l’aviculture, la transformation ou encore la commercialisation. »
Pour la troisième convention signée avec la Bm, l’accord constitue « un don du Fonds Fiduciaire Multi-Donateurs pour la Protection Sociale Adaptative, pour un montant de onze millions cinquante mille Dollars des Etats – Unis (11 050 000), environ 6,5 milliards de FCFA (et) est destiné à prendre en charge des activités supplémentaires de l’actuel Projet d’Appui aux Filets Sociaux (PAFS). » Quant à la convention signée avec la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), il s’agit d’un montant d’environ 5,2 milliards de FCFA.
«L’accès à l’eau potable des populations en milieu urbain et en milieu rural est placé au cœur du Plan Sénégal Emergent (PSE) à travers la construction de forages et la réhabilitation d’ouvrages de stockage de fourniture d’eau. Le projet d’alimentation en eau des îles de la Basse Casamance qui se situe dans la zone du delta du fleuve Casamance, dans la région de Ziguinchor, située à environ 450 km de Dakar, entre dans ce cadre. » Un projet qui devrait permettre : la réalisation et l’équipement de 10 forages d’une capacité de production de 5 à 20 m3/h ; la fourniture et la pose de deux (02) groupes électrogènes et de trois (03) groupes solaires photovoltaïques ; la construction de onze (11) châteaux d’eau d’une capacité entre 25 et 200 m3 et ; la réalisation de réseaux d’adduction et de distribution sur une longueur de 141 km.
Dans les locaux de son ambassade à Washington, le Sénégal s’est accordé avec la Banque européenne d’investissement (BEI) ce vendredi 7 octobre, pour le financement d’un montant d’environ 65,595 milliards de FCFA à la réalisation d’une usine de traitement d’eau potable à Keur Momar Sarr sous forme de prêt concessionnel. L’usine sera ainsi rétrocédée à la Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) : à hauteur de 85% sous forme de subvention, et de 15% sous forme de prêt.
Ce financement vient compléter, selon un communiqué du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, le plan d’actions prioritaires 2014-2018 du Plan Sénégal émergent (PSE), soit à l’axe 2, à savoir « capital humain, protection sociale et développement durable ». Bénéficiant du cofinancement de la Bm, de la Bad (Banque africaine de développement), de l’Afd (Agence française de développement) et de la Bid (Banque islamique de développement), en plus de la contrepartie financière de l’Etat du Sénégal, le « projet consiste à assurer une bonne alimentation de la capitale (Dakar) en eau potable et à sécuriser la fourniture d’eau potable pour faire face au défi de l’absence de ressources suffisantes et d’une croissance démographique, plus importante que prévue ces dernières années. »
La seconde convention signée avec la Bid matérialise le financement partiel du Programme de développement des domaines agricoles communautaires (PRODAC) d’un montant de 47 754 000 000 (plus de 47 milliards) de FCFA. A travers ce projet avec le PRODAC, l’Etat du Sénégal va ainsi « réaliser des domaines agricoles communautaires, qui seront des incubateurs de jeunes entrepreneurs agricoles notamment en milieu rural. A terme, ces domaines agricoles, d’une superficie allant de 1000 à 5000 hectares, vont permettre de créer plus de trois cent mille (300 000) emplois dans l’agriculture, la pisciculture, l’aviculture, la transformation ou encore la commercialisation. »
Pour la troisième convention signée avec la Bm, l’accord constitue « un don du Fonds Fiduciaire Multi-Donateurs pour la Protection Sociale Adaptative, pour un montant de onze millions cinquante mille Dollars des Etats – Unis (11 050 000), environ 6,5 milliards de FCFA (et) est destiné à prendre en charge des activités supplémentaires de l’actuel Projet d’Appui aux Filets Sociaux (PAFS). » Quant à la convention signée avec la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), il s’agit d’un montant d’environ 5,2 milliards de FCFA.
«L’accès à l’eau potable des populations en milieu urbain et en milieu rural est placé au cœur du Plan Sénégal Emergent (PSE) à travers la construction de forages et la réhabilitation d’ouvrages de stockage de fourniture d’eau. Le projet d’alimentation en eau des îles de la Basse Casamance qui se situe dans la zone du delta du fleuve Casamance, dans la région de Ziguinchor, située à environ 450 km de Dakar, entre dans ce cadre. » Un projet qui devrait permettre : la réalisation et l’équipement de 10 forages d’une capacité de production de 5 à 20 m3/h ; la fourniture et la pose de deux (02) groupes électrogènes et de trois (03) groupes solaires photovoltaïques ; la construction de onze (11) châteaux d’eau d’une capacité entre 25 et 200 m3 et ; la réalisation de réseaux d’adduction et de distribution sur une longueur de 141 km.