Sous pression à domicile, le président français a tenté de rassurer ses alliés au sommet de l'OTAN à Washington.
"J'ai pu confirmer à l'ensemble de mes homologues et alliés que la France aurait une approche de continuité de ses engagements internationaux, qu'il s'agisse de l'Europe, de l'Alliance ou du soutien à l'Ukraine, car les forces politiques qui constituent une majorité à l'Assemblée sont en faveur de ces lignes. Et en aucun cas ce ne sont les forces qui les remettent en cause qui sont majoritaires", a-t-il déclaré.
De retour en France, Macron tentera de reprendre les rênes de la politique intérieure.
Dans sa lettre aux Français publiée cette semaine, le président a appelé les partis centristes à bâtir une majorité à l'Assemblée afin de garantir la stabilité du pays.
Empêtré dans de difficiles négociations internes, le Nouveau Front populaire a appelé le président à se tourner vers lui pour former un gouvernement mais ne s'est pas mis d'accord sur un nom de Premier ministre.
De son côté, le parti d'extrême droite du Rassemblement national a déclaré qu'il censurerait un gouvernement comprenant des ministres de La France insoumise et des écologistes.
Selon la Constitution française, le président nomme le Premier ministre en toute liberté.
En cas de cohabitation, il a jusqu'ici toujours été admis que le président de la République nomme un Premier ministre issu de la nouvelle majorité.
Face à ce casse-tête, le nouveau visage de Matignon n'est pour l'heure pas connu
"J'ai pu confirmer à l'ensemble de mes homologues et alliés que la France aurait une approche de continuité de ses engagements internationaux, qu'il s'agisse de l'Europe, de l'Alliance ou du soutien à l'Ukraine, car les forces politiques qui constituent une majorité à l'Assemblée sont en faveur de ces lignes. Et en aucun cas ce ne sont les forces qui les remettent en cause qui sont majoritaires", a-t-il déclaré.
De retour en France, Macron tentera de reprendre les rênes de la politique intérieure.
Dans sa lettre aux Français publiée cette semaine, le président a appelé les partis centristes à bâtir une majorité à l'Assemblée afin de garantir la stabilité du pays.
Empêtré dans de difficiles négociations internes, le Nouveau Front populaire a appelé le président à se tourner vers lui pour former un gouvernement mais ne s'est pas mis d'accord sur un nom de Premier ministre.
De son côté, le parti d'extrême droite du Rassemblement national a déclaré qu'il censurerait un gouvernement comprenant des ministres de La France insoumise et des écologistes.
Selon la Constitution française, le président nomme le Premier ministre en toute liberté.
En cas de cohabitation, il a jusqu'ici toujours été admis que le président de la République nomme un Premier ministre issu de la nouvelle majorité.
Face à ce casse-tête, le nouveau visage de Matignon n'est pour l'heure pas connu