L'essentiel :
Emmanuel Macron a poursuivi ses consultations pour trouver un Premier ministre avec une nouvelle salve de consultations comprenant l'ancien locataire de Matignon Bernard Cazeneuve et l'ancien ministre Xavier Bertrand.
Le président a également reçu son prédécesseur socialiste, François Hollande, qui ne devrait pas le dissuader de nommer Bernard Cazeneuve. Au contraire de Nicolas Sarkozy arrivé dans un chassé-croisé très politique, et qui plaide, lui, pour un Premier ministre de droite. C'est ensuite le centriste François Bayrou qui a gravi le perron de l'Élysée, suivi une heure plus tard du Premier ministre Gabriel Attal, démissionnaire depuis 48 jours.
Le nom de Thierry Beaudet, président du Conseil économique, social et environnemental, est la dernière hypothèse pour Matignon.
Ces consultations sont présentées comme les dernières, huit semaines après les législatives qui ont débouché sur une Assemblée nationale sans majorité, et avant une possible nomination mardi.
Le parti de Jean-Luc Mélenchon, LFI, et plusieurs organisations syndicales étudiantes ont diffusé un appel à "une grande manifestation contre le coup de force" d'Emmanuel Macron le 7 septembre prochain.
Emmanuel Macron a poursuivi ses consultations pour trouver un Premier ministre avec une nouvelle salve de consultations comprenant l'ancien locataire de Matignon Bernard Cazeneuve et l'ancien ministre Xavier Bertrand.
Le président a également reçu son prédécesseur socialiste, François Hollande, qui ne devrait pas le dissuader de nommer Bernard Cazeneuve. Au contraire de Nicolas Sarkozy arrivé dans un chassé-croisé très politique, et qui plaide, lui, pour un Premier ministre de droite. C'est ensuite le centriste François Bayrou qui a gravi le perron de l'Élysée, suivi une heure plus tard du Premier ministre Gabriel Attal, démissionnaire depuis 48 jours.
Le nom de Thierry Beaudet, président du Conseil économique, social et environnemental, est la dernière hypothèse pour Matignon.
Ces consultations sont présentées comme les dernières, huit semaines après les législatives qui ont débouché sur une Assemblée nationale sans majorité, et avant une possible nomination mardi.
Le parti de Jean-Luc Mélenchon, LFI, et plusieurs organisations syndicales étudiantes ont diffusé un appel à "une grande manifestation contre le coup de force" d'Emmanuel Macron le 7 septembre prochain.