Ouf de soulagement pour celles qui se font surnommer "Mame Ndiaye savon" et/ou "Mamy Cobra"!
En effet, les deux dames, qui ont failli rejoindre le lot déjà pléthorique de détenues s'entassant à la maison d'arrêt pour femmes sise à Liberté 6, ont échappé de justesse à plusieurs chefs d'inculpation ( diffamation, injures, outrage public à la pudeur sur les réseaux sociaux...)
Selon des informations fiables en possession de dakarposte, le tandem qui s'est tristement illustré par leurs échanges d'invectives , a déféré ce vendredi à une convocation des redoutés mais redoutables limiers de la brigade contre la cybercriminalité.
En fait, Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra ignoraient certainement que nos policiers du web suivaient comme de l'huile sur le feu leurs "lives" sur la toile. Soit dit en passant, beaucoup l'ignorent, mais la brigade de lutte contre la cybercriminalité au Sénégal, sous la coupe du perspicace commissaire Kandé, veille au grain sur les moindres faits et gestes sur la toile.
Logée sur l'avenue Malick Sy, la Brigade spéciale de lutte contre la cybercriminalité a fini de convaincre de sa place de leader national dans les investigations contre ce phénomène qui menace le cyberespace. Elle s'est spécialisée dans la recherche, l'analyse et la conservation de preuves électroniques.
Il nous revient que c'est la brigade appelée "patrouilleurs" qui a fait tomber Mame Ndiaye et Mamy Cobra. Il s'agit de policiers, aguerris, ayant pour mission de surveiller les contenus publiés sur Internet afin de détecter la commission de délits et de rassembler suffisamment de preuves afin de les signaler. Ce sont donc les cyber patrouilleurs qui ont fini de noter les infractions de "Savon" et "Cobra" avant de transmettre leurs cas au "patron" (entendez le commissaire Kandé).
La suite est connue. Les deux dames sont convoquées jeudi. Mais, hier Mame Ndiaye s'est présentée; Mamy Cobra, qui a brillé par son absence, demandera aux limiers de lui accorder un délai de 24h.
Elles seront rappelées à l'ordre par le maitre des lieux. Qui saisira l'opportunité pour les sensibiliser
sur la diffusion de contenus inacceptables comme leurs échanges de vulgarité qui a fini de faire le tour du globe par la magie de la toile.
Il nous revient qu'il fallait les voir rugir de honte avant de se confondre en excuses. Elles seront finalement libérées.
En effet, les deux dames, qui ont failli rejoindre le lot déjà pléthorique de détenues s'entassant à la maison d'arrêt pour femmes sise à Liberté 6, ont échappé de justesse à plusieurs chefs d'inculpation ( diffamation, injures, outrage public à la pudeur sur les réseaux sociaux...)
Selon des informations fiables en possession de dakarposte, le tandem qui s'est tristement illustré par leurs échanges d'invectives , a déféré ce vendredi à une convocation des redoutés mais redoutables limiers de la brigade contre la cybercriminalité.
En fait, Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra ignoraient certainement que nos policiers du web suivaient comme de l'huile sur le feu leurs "lives" sur la toile. Soit dit en passant, beaucoup l'ignorent, mais la brigade de lutte contre la cybercriminalité au Sénégal, sous la coupe du perspicace commissaire Kandé, veille au grain sur les moindres faits et gestes sur la toile.
Logée sur l'avenue Malick Sy, la Brigade spéciale de lutte contre la cybercriminalité a fini de convaincre de sa place de leader national dans les investigations contre ce phénomène qui menace le cyberespace. Elle s'est spécialisée dans la recherche, l'analyse et la conservation de preuves électroniques.
Il nous revient que c'est la brigade appelée "patrouilleurs" qui a fait tomber Mame Ndiaye et Mamy Cobra. Il s'agit de policiers, aguerris, ayant pour mission de surveiller les contenus publiés sur Internet afin de détecter la commission de délits et de rassembler suffisamment de preuves afin de les signaler. Ce sont donc les cyber patrouilleurs qui ont fini de noter les infractions de "Savon" et "Cobra" avant de transmettre leurs cas au "patron" (entendez le commissaire Kandé).
La suite est connue. Les deux dames sont convoquées jeudi. Mais, hier Mame Ndiaye s'est présentée; Mamy Cobra, qui a brillé par son absence, demandera aux limiers de lui accorder un délai de 24h.
Elles seront rappelées à l'ordre par le maitre des lieux. Qui saisira l'opportunité pour les sensibiliser
sur la diffusion de contenus inacceptables comme leurs échanges de vulgarité qui a fini de faire le tour du globe par la magie de la toile.
Il nous revient qu'il fallait les voir rugir de honte avant de se confondre en excuses. Elles seront finalement libérées.