L'animatrice et son amie de restauratrice ont finalement humé l'air de la liberté. Leur affaire enrôlée à l'audience des flagrants délits de ce lundi matin et le juge a fini par libérer Sokhena Astou Kane dite Aida Patra et Valeira au bénéfice du doute.
En attendant d'y revenir, dakarposte.com tient que les avocats de la défense ont plaidé "pour délits non constitués".
Pour rappel, des éléments de l’enquête préliminaire ont permis de lever le voile sur la nature des éléments de preuves contre l’animatrice Aida Patra et sa copine, Marie Sirviane Valéra, trouvées par la police en train de fumer du crack.
Lorsque les flics patrouilleurs de l'OCRTIS ont arrêté les présumées fumeuses de cannabis, ils ont effectué une fouille minutieuse sur les lieux qui s’est soldée par la découverte d’un fumoir de crack (dérivé de drogues dures), des papiers aluminium servant probablement de conditionnement pour le produit prohibé et des résidus de cannabis mixés avec de la cigarette. Ensuite, ils les embarquent à bord d’une fourgonnette et les conduisent dans les locaux de la section opérationnelle de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis). Ils les identifient à l’état civil et les soumettent au traditionnel interrogatoire.
Livrée à un enquêteur policier, Marie Sirviane Valéra n’a pas fait dans la dentelle pour passer aux aveux circonstanciés. Elle a d’abord avoué son goût prononcé pour le cannabis et indique se ravitailler auprès des dealers nichés à Ouakam. “Je suis une consommatrice chevronnée de cannabis qui s’approvisionne auprès des trafiquants établis au quartier "Niayes bi" à Ouakam. J’achète le cornet à 500 francs", a-t-elle laissé entendre devant les flics avant de dire que les objets trouvés sur les lieux par la police servaient à Aida Patra et au dénommé Banga, propriétaire de la maison, en fuite.
Quant à Aida Patra, il nous revient qu’elle a tenté vainement de se disculper et de se laver à grande eau contre les accusations de sa copine. "J’étais sur les lieux pour juste boire de la liqueur mais non pas pour fumer du chanvre ou du crack. Le fumoir de crack appartient plutôt à Marie Sirviane Valéra. Celle-ci était venue s’approvisionner et consommer du crack auprès du nommé Banga", affirme Patra.
Toutes les deux avaient été placées sous mandat de dépôt par le Parquet de Dakar pour usage collectif de chanvre indien et de crack. Elles ont passé la nuit prison du Camp pénal.
En attendant d'y revenir, dakarposte.com tient que les avocats de la défense ont plaidé "pour délits non constitués".
Pour rappel, des éléments de l’enquête préliminaire ont permis de lever le voile sur la nature des éléments de preuves contre l’animatrice Aida Patra et sa copine, Marie Sirviane Valéra, trouvées par la police en train de fumer du crack.
Lorsque les flics patrouilleurs de l'OCRTIS ont arrêté les présumées fumeuses de cannabis, ils ont effectué une fouille minutieuse sur les lieux qui s’est soldée par la découverte d’un fumoir de crack (dérivé de drogues dures), des papiers aluminium servant probablement de conditionnement pour le produit prohibé et des résidus de cannabis mixés avec de la cigarette. Ensuite, ils les embarquent à bord d’une fourgonnette et les conduisent dans les locaux de la section opérationnelle de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis). Ils les identifient à l’état civil et les soumettent au traditionnel interrogatoire.
Livrée à un enquêteur policier, Marie Sirviane Valéra n’a pas fait dans la dentelle pour passer aux aveux circonstanciés. Elle a d’abord avoué son goût prononcé pour le cannabis et indique se ravitailler auprès des dealers nichés à Ouakam. “Je suis une consommatrice chevronnée de cannabis qui s’approvisionne auprès des trafiquants établis au quartier "Niayes bi" à Ouakam. J’achète le cornet à 500 francs", a-t-elle laissé entendre devant les flics avant de dire que les objets trouvés sur les lieux par la police servaient à Aida Patra et au dénommé Banga, propriétaire de la maison, en fuite.
Quant à Aida Patra, il nous revient qu’elle a tenté vainement de se disculper et de se laver à grande eau contre les accusations de sa copine. "J’étais sur les lieux pour juste boire de la liqueur mais non pas pour fumer du chanvre ou du crack. Le fumoir de crack appartient plutôt à Marie Sirviane Valéra. Celle-ci était venue s’approvisionner et consommer du crack auprès du nommé Banga", affirme Patra.
Toutes les deux avaient été placées sous mandat de dépôt par le Parquet de Dakar pour usage collectif de chanvre indien et de crack. Elles ont passé la nuit prison du Camp pénal.