Figurez-vous que juste après leur audience de ce lundi 14 décembre 2015 avec l'ambassadeur de France accrédité au Sénégal, les opposants ont encore taillé bavette avec les émissaires du pouvoir. La rencontre, qui s'est déroulée, loin des indiscrets, n'est que la prolongation des négociations entre la mouvance Présidentielle et l'opposition.
Et, des informations en notre possession, les débats ont essentiellement tourné sur le contrôle du groupe parlementaire du Pds. Le groupe d'opposants présent à la table des négociations, nous revient-il, est resté fidèle au choix de l'ancien Président Wade. Qui a porté à la tête du groupe parlementaire libéral, Mme Aissatou Mbodji dite Aida.
Nous avons pu glaner que le groupe d'émissaires dirigé par Imam Mbaye Niang entend se plier à la volonté des opposants, mais la pierre d'achoppement reste le "cas Rewmi" (ndlr: parti d'Idrissa Seck). Et, comment? "Le régime ne supporte pas, du tout alors ce parti au premier chef le chef de file, Idrissa Seck" avons-nous glaner de bonnes sources.
En un mot comme en mille, le mot d'ordre reçu en "haut lieu", c'est: "ok sur tous les points, mais il faut exclure le parti Rewmi. Sur toute la ligne".
Quoi qu'il en soit, aux yeux des opposants, "c'est le Président Macky Sall qui est derrière cette folie de Fada qu’il veut dresser contre Me Wade. C’est ça sa manie, et les gens l’ont bien découvert. Il a récemment tenté ce même manège avec Cheikh Seck au parti socialiste. Heureusement, les Sénégalais sont bien plus intelligents que Macky Sall le croit"
Pour rappel, dans ce bras de fer, Modou Diagne Fada du PDS (à la tête d'une fronde) et Oumar Sarr, le coordonnateur national adjoint du Pds, ont déposé, chacun, une demande de constitution de groupe parlementaire pour le compte du même parti, le Pds. Alors que la direction du Pds a décidé de remplacer l’ancien président du groupe des Libéraux et Démocrates par Aïda Mbodj.
Nous y reviendrons!
Edouard
Et, des informations en notre possession, les débats ont essentiellement tourné sur le contrôle du groupe parlementaire du Pds. Le groupe d'opposants présent à la table des négociations, nous revient-il, est resté fidèle au choix de l'ancien Président Wade. Qui a porté à la tête du groupe parlementaire libéral, Mme Aissatou Mbodji dite Aida.
Nous avons pu glaner que le groupe d'émissaires dirigé par Imam Mbaye Niang entend se plier à la volonté des opposants, mais la pierre d'achoppement reste le "cas Rewmi" (ndlr: parti d'Idrissa Seck). Et, comment? "Le régime ne supporte pas, du tout alors ce parti au premier chef le chef de file, Idrissa Seck" avons-nous glaner de bonnes sources.
En un mot comme en mille, le mot d'ordre reçu en "haut lieu", c'est: "ok sur tous les points, mais il faut exclure le parti Rewmi. Sur toute la ligne".
Quoi qu'il en soit, aux yeux des opposants, "c'est le Président Macky Sall qui est derrière cette folie de Fada qu’il veut dresser contre Me Wade. C’est ça sa manie, et les gens l’ont bien découvert. Il a récemment tenté ce même manège avec Cheikh Seck au parti socialiste. Heureusement, les Sénégalais sont bien plus intelligents que Macky Sall le croit"
Pour rappel, dans ce bras de fer, Modou Diagne Fada du PDS (à la tête d'une fronde) et Oumar Sarr, le coordonnateur national adjoint du Pds, ont déposé, chacun, une demande de constitution de groupe parlementaire pour le compte du même parti, le Pds. Alors que la direction du Pds a décidé de remplacer l’ancien président du groupe des Libéraux et Démocrates par Aïda Mbodj.
Nous y reviendrons!
Edouard