Éric Ciotti ne conteste pas seulement la "valeur juridique" du bureau politique. "La commission d'investiture n'a aucune réalité non-plus", juge sur France 2 le Niçois qui s'accroche à sa présidence du parti Les Républicains.
Cette commission d'investiture, réunie dans la foulée du bureau politique qui a voté son exclusion, a reconduit les députés sortants de LR qui se représentent, à l'exception d'Éric Ciotti et d'une de ses proches, Christelle D'Intorni, elle aussi favorable à l'alliance avec l'extrême droite.
Cela représente 59 députés LR.
Au micro de France 2, Éric Ciotti n'hésite pas à tacler les cadres de LR, qui sont tous favorables à son exclusion.
"On a vu le retour de tous ceux qui ont fait perdre la droite depuis des décennies", lance-t-il, avant d'appeler à "changer de cadre, de personnes", en faisant alliance avec l'extrême droite.
"Je serai dans mon bureau dans quelques instants", promet Éric Ciotti sur France 2. Le député des Alpes-Maritimes s'accroche à sa présidence du parti Les Républicains et s'en prend aux élus LR qui veulent son départ:
"Tout ça, ce sont des arguties, des petits combats de gens médiocres d'arrière-garde qui n'ont rien compris à ce qui se passait dans le pays", tacle-t-il.
Si un bureau politique a voté son exclusion du parti la veille, Éric Ciotti conteste sa "valeur juridique".
"Ce n'est pas un bureau politique. Le bureau politique est convoqué par le président", argumente-t-il.
Cette commission d'investiture, réunie dans la foulée du bureau politique qui a voté son exclusion, a reconduit les députés sortants de LR qui se représentent, à l'exception d'Éric Ciotti et d'une de ses proches, Christelle D'Intorni, elle aussi favorable à l'alliance avec l'extrême droite.
Cela représente 59 députés LR.
Au micro de France 2, Éric Ciotti n'hésite pas à tacler les cadres de LR, qui sont tous favorables à son exclusion.
"On a vu le retour de tous ceux qui ont fait perdre la droite depuis des décennies", lance-t-il, avant d'appeler à "changer de cadre, de personnes", en faisant alliance avec l'extrême droite.
"Je serai dans mon bureau dans quelques instants", promet Éric Ciotti sur France 2. Le député des Alpes-Maritimes s'accroche à sa présidence du parti Les Républicains et s'en prend aux élus LR qui veulent son départ:
"Tout ça, ce sont des arguties, des petits combats de gens médiocres d'arrière-garde qui n'ont rien compris à ce qui se passait dans le pays", tacle-t-il.
Si un bureau politique a voté son exclusion du parti la veille, Éric Ciotti conteste sa "valeur juridique".
"Ce n'est pas un bureau politique. Le bureau politique est convoqué par le président", argumente-t-il.