Elimane Lam est donc Docteur Honoris Causa. Cette distinction placée sous le label d’une crédibilité universellement reconnue comme telle, fait partie de celles qui ne se marchandent pas, ne s’arrachent pas, ne se provoquent pas. Elle procède d’un choix parfaitement lucide délivré par un collège d’éminences grises incorruptibles et difficilement impressionnables. Et voilà pourquoi quand on est Docteur Honoris Causa, on a toutes les raisons de pavoiser et de parader.
Ce que notre Elimane national ne fera guère cependant, étant entendu que c’est une personnalité qui préfère sensément se dérober à l’appel des jeux mondains où la lumière éblouissante des paillettes et strass peut facilement vous donner l’illusion d’être plus grand et plus beau que nature.
Elimane Lam est en effet un homme nanti mais étonnamment simple et effacé, qui ne verse jamais dans l’exhibitionnisme et la fanfaronnade, deux vices qui prennent souvent trop de place dans les comportements des sommités économiques et financières de sa trempe.
Combien d’hommes et de femmes, d’enfants et de vieillards cette générosité faite homme a-t-elle tirés d’affaire ? Personne ne pourra le dire un jour, car il n’écrit le mot BIENFAISANCE que pour l’effacer aussitôt. Il a fait le choix de valoriser son Action en la laissant ensevelir les traces de sa propre image.
C’est dire donc que la prestigieuse distinction qu’il vient de recevoir n’est rien d’autre que le couronnement, à mi-chemin, d’un parcours élogieux mais sans fioriture, sur le long chemin du Bien. Et pourtant, l’homme est tout à fait à équidistance des camps politiques de son pays. On ne lui connait, jusqu’à plus informé, aucune filiation ou obédience assumée vis-à-vis de quelque chapelle politique.
Les politiques, il préfère les respecter tous, apprécier leurs actions respectives à l’occasion, mais garder sa distance pour mieux continuer à rester le serviteur désintéressé qu’il est et qui lui vaut une si grande respectabilité dans l’espace public d’ici et d’ailleurs. Une bien belle manière de donner un sens à la célèbre déclaration d’un ancien président américain : « Ne vous demandez ce que votre pays peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour votre pays ».
Parmi les actions d’anthologie de monsieur Lam il y a ce terrain équipé d’un gazon synthétique de dernière génération qu’il a offerte il y a quelques années aux populations de Liberté 6 où il a grandi. Ce don, faut-il le rappeler, avait en son temps fait l’objet d’une inauguration originale, avec à la clé un beau match de gala qui avait opposé des célébrités de la génération de 2002 et une équipe d’anonymes. Une belle fête sportive à laquelle avaient pris ,part pas mal de célébrités des mondes économique, médiatique et sportif.
clounjay@yahoo.fr
Ce que notre Elimane national ne fera guère cependant, étant entendu que c’est une personnalité qui préfère sensément se dérober à l’appel des jeux mondains où la lumière éblouissante des paillettes et strass peut facilement vous donner l’illusion d’être plus grand et plus beau que nature.
Elimane Lam est en effet un homme nanti mais étonnamment simple et effacé, qui ne verse jamais dans l’exhibitionnisme et la fanfaronnade, deux vices qui prennent souvent trop de place dans les comportements des sommités économiques et financières de sa trempe.
Combien d’hommes et de femmes, d’enfants et de vieillards cette générosité faite homme a-t-elle tirés d’affaire ? Personne ne pourra le dire un jour, car il n’écrit le mot BIENFAISANCE que pour l’effacer aussitôt. Il a fait le choix de valoriser son Action en la laissant ensevelir les traces de sa propre image.
C’est dire donc que la prestigieuse distinction qu’il vient de recevoir n’est rien d’autre que le couronnement, à mi-chemin, d’un parcours élogieux mais sans fioriture, sur le long chemin du Bien. Et pourtant, l’homme est tout à fait à équidistance des camps politiques de son pays. On ne lui connait, jusqu’à plus informé, aucune filiation ou obédience assumée vis-à-vis de quelque chapelle politique.
Les politiques, il préfère les respecter tous, apprécier leurs actions respectives à l’occasion, mais garder sa distance pour mieux continuer à rester le serviteur désintéressé qu’il est et qui lui vaut une si grande respectabilité dans l’espace public d’ici et d’ailleurs. Une bien belle manière de donner un sens à la célèbre déclaration d’un ancien président américain : « Ne vous demandez ce que votre pays peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour votre pays ».
Parmi les actions d’anthologie de monsieur Lam il y a ce terrain équipé d’un gazon synthétique de dernière génération qu’il a offerte il y a quelques années aux populations de Liberté 6 où il a grandi. Ce don, faut-il le rappeler, avait en son temps fait l’objet d’une inauguration originale, avec à la clé un beau match de gala qui avait opposé des célébrités de la génération de 2002 et une équipe d’anonymes. Une belle fête sportive à laquelle avaient pris ,part pas mal de célébrités des mondes économique, médiatique et sportif.
clounjay@yahoo.fr