Du nouveau dans le dossier du crash de l’avion de Sénégalair qui était entré en collision, à 10 000 mètres au dessus de Tambacounda, avec un Boeing de la compagnie Ceiba international avant de disparaître à 111 km à l’Ouest de Dakar dans l’océan Atlantique. L’aéronef procédait à l’évacuation sanitaire d’une ressortissante française de Ouagadougou vers Dakar et avait à bord en outre, un médecin et deux infirmiers sénégalais de Sos médecins ainsi que trois membres d’équipage (deux Algériens et un Congolais). Si on en reparle alors que l’enquête confiée au Bureau d'enquête et d'analyse pour la sécurité de l'aviation civile au Sénégal se poursuit, c’est que, indique Le Pop, il y a du nouveau côté français. Selon le site lanouvellerepublique.fr, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour homicide involontaire et les gendarmes français des transports aériens sont attendus sur place au Sénégal.
Par ailleurs, une précision de taille a été apportée, l’avion n’avait pas été affrétée par SOS médecins comme indiqué. C’est plutôt Inter Mutuelles Assistance (IMA) qui l’avait affrété pour rapatrier une sociétaire de la MAIF entre Ouagadougou (Burkina-Faso) et Dakar. Avant-hier, poursuit la même source, la direction d'IMA se refusait à tout commentaire « par respect pour les familles des victimes » et n'a donc pas dévoilé l'identité de la sociétaire de la MAIF disparue dans cet accident. La direction d'IMA ne souhaite pas s'exprimer : « L'enquête est encore en cours et nous manquons d'éléments tangibles pour nous exprimer ».
Leral.net
Par ailleurs, une précision de taille a été apportée, l’avion n’avait pas été affrétée par SOS médecins comme indiqué. C’est plutôt Inter Mutuelles Assistance (IMA) qui l’avait affrété pour rapatrier une sociétaire de la MAIF entre Ouagadougou (Burkina-Faso) et Dakar. Avant-hier, poursuit la même source, la direction d'IMA se refusait à tout commentaire « par respect pour les familles des victimes » et n'a donc pas dévoilé l'identité de la sociétaire de la MAIF disparue dans cet accident. La direction d'IMA ne souhaite pas s'exprimer : « L'enquête est encore en cours et nous manquons d'éléments tangibles pour nous exprimer ».
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