Nos confrères de leral.net ont été les premiers à ébruiter cette affaire, à savoir cet étudiant Sénégalais qui fréquentait l’Université de Zitouna de Tunis et qui se trouve dans les liens de la détention. Précisément à la prison de Bouchoucha. C'est en substance l'information rapporté à Leral par le nommé Souhaïbou Dieng, qui n'est autre que le président de l’association des étudiants Sénégalais en Tunisie.
Selon ce dernier, il a été arrêté, jeudi dernier, par la police tunisienne qui le soupçonne d'être de connivence avec les milieux jihadistes. D’après notre interlocuteur, il été pris en train de discuter avec deux de ses camarades étudiants (Tunisien et un Ghanéen) sur le terrorisme. Souhaïbou Dieng dit avoir saisi l’ambassadrice du Sénégal dès les premières heures de la garde à vue de leur camarade, mais cette dernière est resté muette comme une carpe.
"Depuis jeudi, nous avons informé l’ambassadeur en personne, mais il n’a pas réagi. Ce matin, en compagnie de mes camarades, nous nous sommes rendus à son bureau. Il nous a dit qu’il ne peut rien faire parce que c’est une affaire qui concerne la justice", a dit Dieng qui demande aux autorités sénégalaises de réagir avant que leur camarade ne subisse le même sort que le nommé Lamine Touré. Ce dernier, d’après notre interlocuteur, a été arrêté pour soupçons de terrorisme, il y a 3 mois, et depuis, il croupit dans une prison de Tunis, sans assistance.
De nos recoupements, dakarposte tient que l'ambassadrice est pointée du doigt. "Son laxisme notoire est décrié"? Pour ceux qui ne le savent pas, Madame Khadidiatou TALL (photo ci-dessus) est la sœur de Aminata Tall du CESE.
L'on se rappelle que la même dame a été récemment la risée des étudiants. Pour ceux qui n'ont pas suivi cette affaire, des étudiants avaient assiégé les locaux les locaux de la chancellerie parce qu’ils accusaient la diplomate de ne pas fournir des passeports à temps. Une situation, disaient-ils, qui leur fait perdre leurs cartes de séjour.
Bref, la majorité des Sénégalais qui ont opté pour la Tunisie pour poursuivre leurs études ou pour leur projet professionnel demandent aux autorités de reconsidérer leurs conditions de vie. En somme, ils demandent une assistance du régime en place.
Ils disent avoir beau décrier la stigmatisation dont ils sont souvent victimes en Tunisie.
Nous y reviendrons!
Selon ce dernier, il a été arrêté, jeudi dernier, par la police tunisienne qui le soupçonne d'être de connivence avec les milieux jihadistes. D’après notre interlocuteur, il été pris en train de discuter avec deux de ses camarades étudiants (Tunisien et un Ghanéen) sur le terrorisme. Souhaïbou Dieng dit avoir saisi l’ambassadrice du Sénégal dès les premières heures de la garde à vue de leur camarade, mais cette dernière est resté muette comme une carpe.
"Depuis jeudi, nous avons informé l’ambassadeur en personne, mais il n’a pas réagi. Ce matin, en compagnie de mes camarades, nous nous sommes rendus à son bureau. Il nous a dit qu’il ne peut rien faire parce que c’est une affaire qui concerne la justice", a dit Dieng qui demande aux autorités sénégalaises de réagir avant que leur camarade ne subisse le même sort que le nommé Lamine Touré. Ce dernier, d’après notre interlocuteur, a été arrêté pour soupçons de terrorisme, il y a 3 mois, et depuis, il croupit dans une prison de Tunis, sans assistance.
De nos recoupements, dakarposte tient que l'ambassadrice est pointée du doigt. "Son laxisme notoire est décrié"? Pour ceux qui ne le savent pas, Madame Khadidiatou TALL (photo ci-dessus) est la sœur de Aminata Tall du CESE.
L'on se rappelle que la même dame a été récemment la risée des étudiants. Pour ceux qui n'ont pas suivi cette affaire, des étudiants avaient assiégé les locaux les locaux de la chancellerie parce qu’ils accusaient la diplomate de ne pas fournir des passeports à temps. Une situation, disaient-ils, qui leur fait perdre leurs cartes de séjour.
Bref, la majorité des Sénégalais qui ont opté pour la Tunisie pour poursuivre leurs études ou pour leur projet professionnel demandent aux autorités de reconsidérer leurs conditions de vie. En somme, ils demandent une assistance du régime en place.
Ils disent avoir beau décrier la stigmatisation dont ils sont souvent victimes en Tunisie.
Nous y reviendrons!