« L’unique maire progressiste de la région, Malamine Cissé, a démissionné de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) pour le Grand parti. Il est l’actuel maire de Simandi Brassou dans le département de Goudomp. Il dit ne pas supporter l’absence de démocratie qu’il a constatée au sein de l’AFP.
La responsable départementale des femmes de Bounkiling, Mariama Doubouya, a également lâché Moustapha Niasse ce jeudi pour le Grand parti. Elle dit être victime d’un manque de considération depuis 1999. De son avis, le Grand parti sera la réponse à toutes ses inquiétudes. Adama Sadio, conseiller apériste de la commune de Kaour dans le Goudomp, à la tête d’une forte délégation, a aussi déposé ses baluchons dans les rangs du Grand parti.
Madame Diallo, née Mame Fatou Camara, responsable de la commission des femmes en s’adressant à Malick Gakou, lui a dit que “les responsables actuels du pouvoir politique local nous ont assez déçus. C’est pourquoi nous venons adhérer au Grand parti espérant que vous avez la solution aux maux de la jeunesse qui ont pour nom désœuvrement, précarité, la pauvreté”.
Cette vague de démissionnaires de l’AFP, de l’Apr (Parti au pouvoir) et des autres formations politiques a conforté Malick Gakou dans la définition qu’il a donnée au Grand parti. “C’est le parti de l’ouverture, le parti des frustrés de toutes les formations politiques, c’est le parti de la jeunesse et des forces vives de la nation”, a-t-il dit, appelant les responsables régionaux à l’unité, à la détermination à l’engagement, mais surtout au travail.
La famille chérifienne de Kaour, représentée par Chérif Mamadou Aïdara et Ibrahima Mandiang, a décidé aussi d’accompagner surtout par des prières Malick Gakou dans la quête du pouvoir temporel.
Appréciant la mobilisation exceptionnelle qui lui a été réservée, Malick Gakou dira : “Je suis profondément heureux de constater que pour une première sortie, Sédhiou soit si bien mobilisé derrière ma personne. J’imagine dans un an, l’accueil qui nous sera réservé”.
Une promenade pédestre dans les principales artères de la ville lui a permis de déclarer que “Sédhiou va de mal en pis”. Aussi, dira-t-il, le gouvernement a la responsabilité de désenclaver la région. Mais une fois président, c’est dans un programme national qu’il faut intégrer le développement de cette région qui regorge de plusieurs potentialités a-t-il dit.
La responsable départementale des femmes de Bounkiling, Mariama Doubouya, a également lâché Moustapha Niasse ce jeudi pour le Grand parti. Elle dit être victime d’un manque de considération depuis 1999. De son avis, le Grand parti sera la réponse à toutes ses inquiétudes. Adama Sadio, conseiller apériste de la commune de Kaour dans le Goudomp, à la tête d’une forte délégation, a aussi déposé ses baluchons dans les rangs du Grand parti.
Madame Diallo, née Mame Fatou Camara, responsable de la commission des femmes en s’adressant à Malick Gakou, lui a dit que “les responsables actuels du pouvoir politique local nous ont assez déçus. C’est pourquoi nous venons adhérer au Grand parti espérant que vous avez la solution aux maux de la jeunesse qui ont pour nom désœuvrement, précarité, la pauvreté”.
Cette vague de démissionnaires de l’AFP, de l’Apr (Parti au pouvoir) et des autres formations politiques a conforté Malick Gakou dans la définition qu’il a donnée au Grand parti. “C’est le parti de l’ouverture, le parti des frustrés de toutes les formations politiques, c’est le parti de la jeunesse et des forces vives de la nation”, a-t-il dit, appelant les responsables régionaux à l’unité, à la détermination à l’engagement, mais surtout au travail.
La famille chérifienne de Kaour, représentée par Chérif Mamadou Aïdara et Ibrahima Mandiang, a décidé aussi d’accompagner surtout par des prières Malick Gakou dans la quête du pouvoir temporel.
Appréciant la mobilisation exceptionnelle qui lui a été réservée, Malick Gakou dira : “Je suis profondément heureux de constater que pour une première sortie, Sédhiou soit si bien mobilisé derrière ma personne. J’imagine dans un an, l’accueil qui nous sera réservé”.
Une promenade pédestre dans les principales artères de la ville lui a permis de déclarer que “Sédhiou va de mal en pis”. Aussi, dira-t-il, le gouvernement a la responsabilité de désenclaver la région. Mais une fois président, c’est dans un programme national qu’il faut intégrer le développement de cette région qui regorge de plusieurs potentialités a-t-il dit.