Le couplage des élections (présidentielle, législatives et locales) serait, d’après Ibrahima Sène du Pit, « une régression qui nous ramènerait aux années d’avant le Code électoral consensuel de 1992 ».
L’idée a été récemment agitée par l’Urd de Djibo Kâ. Précédemment, elle a été théorisée par Ousmane Tanor Dieng, Me Alioune Badara Cissé et Farba Senior.
« Il faut se battre pour maintenir les acquis de transparence dans notre système électoral. (…) Une telle régression va ouvrir la boîte de Pandore des contestations électorales et de la déstabilisation du pays », assène Ibrahima Sène. Qui pense que si Djibo Kâ et Tanor Dieng défendent le couplage, c’est qu’ils sont incapables de « rompre avec leur culture historique d’opacité électorale contre laquelle les forces républicaines et démocratiques ont consenti tant de sacrifices pour en venir à bout en 1992 ». (Source : Le Témoin)
Auteur: seneweb
L’idée a été récemment agitée par l’Urd de Djibo Kâ. Précédemment, elle a été théorisée par Ousmane Tanor Dieng, Me Alioune Badara Cissé et Farba Senior.
« Il faut se battre pour maintenir les acquis de transparence dans notre système électoral. (…) Une telle régression va ouvrir la boîte de Pandore des contestations électorales et de la déstabilisation du pays », assène Ibrahima Sène. Qui pense que si Djibo Kâ et Tanor Dieng défendent le couplage, c’est qu’ils sont incapables de « rompre avec leur culture historique d’opacité électorale contre laquelle les forces républicaines et démocratiques ont consenti tant de sacrifices pour en venir à bout en 1992 ». (Source : Le Témoin)
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