Hier, le président Macky Sall a lancé un dialogue national à Diamniadio, loin de l’agitation de Dakar. Cet événement a été le théâtre d’un défilé d’acteurs politiques, de représentants de la société civile, d’acteurs socio-culturels et religieux, dont la plupart sont peu connus du grand public.
Diamniadio a accueilli chaleureusement des hommes d’affaires, des entrepreneurs revêtant également des casquettes politiques, ainsi que d’autres profils attendus sur les lieux. Dans les couloirs du centre de conférences Abdou Diouf, plusieurs participants ont exprimé leur surprise de voir le président Macky Sall pour la première fois en personne depuis très longtemps. Certains ont avoué être là pour se faire remarquer et obtenir une audience avant le départ du président.
Par exemple, une représentante d’une association de la périphérie dakaroise a confié qu’elle participait au dialogue en sachant que ses opinions ne seraient pas forcément prises en compte, mais qu’elle espérait pouvoir rencontrer des responsables politiques pour obtenir un soutien financier pour ses projets. Ce tableau du dialogue, dominé par des hommes et femmes d’affaires, laisse un sentiment de désolation chez certains observateurs.
Le Témoin
Diamniadio a accueilli chaleureusement des hommes d’affaires, des entrepreneurs revêtant également des casquettes politiques, ainsi que d’autres profils attendus sur les lieux. Dans les couloirs du centre de conférences Abdou Diouf, plusieurs participants ont exprimé leur surprise de voir le président Macky Sall pour la première fois en personne depuis très longtemps. Certains ont avoué être là pour se faire remarquer et obtenir une audience avant le départ du président.
Par exemple, une représentante d’une association de la périphérie dakaroise a confié qu’elle participait au dialogue en sachant que ses opinions ne seraient pas forcément prises en compte, mais qu’elle espérait pouvoir rencontrer des responsables politiques pour obtenir un soutien financier pour ses projets. Ce tableau du dialogue, dominé par des hommes et femmes d’affaires, laisse un sentiment de désolation chez certains observateurs.
Le Témoin