Ce vendredi à Bambey, ils voulaient profiter de la venue du chef de l’État, à la base vie de l’entreprise chinoise China road and bridge corporatio (Crbc), chargée de la construction de l’autoroute ila Touba, pour lui confier leur chagrin. Eux, ce sont les journaliers qui travaillent pour le compte de la China road and bridge corporation (Crbc). N’ayant pas eu la chance de parler à leur président, se réjouissent des emplois qui seront créés par ce projet, ils ont décidé de lui lancer un cri de cœur, pour qu’il leur vienne en aide.
« Nous voulions vraiment parler à notre président. Car les conditions dans lesquelles nous travaillons sont difficiles. Nous travaillons depuis 7 mois sans contrat. Nous commençons le travail à 7heures du matin et nous ne finissons qu’à 19heures. Et nous travaillons sans dimanche ni jour de repos », nous a indiqué l’un d’entre eux. Et ce qui les inquiète et les attriste, c’est surtout que l’entreprise ne leur a toujours pas fait signer des contrats et ne tient toujours pas ses promesses sur cette question : « On nous promet chaque fois de régulariser nos situations et nous faire signer des contrats avec des avantages, mais toujours rien », regrettent-ils, alignés près des gros engins disposés à l’intérieur de la base, les jeunes chauffeurs, qui sont versés dans la main d’œuvre, à qui l’entreprise avait promis des emplois comme conducteurs dès que nouvelles voitures seront disponibles, regrettent l’oubli de cette promesse par l’employeur qui a pourtant, disent-ils, reçu de nouveaux véhicules. Ils demandent au chef de l’État de les aider pour qu’ils retrouvent de meilleures conditions de travail.
Seneweb.com
« Nous voulions vraiment parler à notre président. Car les conditions dans lesquelles nous travaillons sont difficiles. Nous travaillons depuis 7 mois sans contrat. Nous commençons le travail à 7heures du matin et nous ne finissons qu’à 19heures. Et nous travaillons sans dimanche ni jour de repos », nous a indiqué l’un d’entre eux. Et ce qui les inquiète et les attriste, c’est surtout que l’entreprise ne leur a toujours pas fait signer des contrats et ne tient toujours pas ses promesses sur cette question : « On nous promet chaque fois de régulariser nos situations et nous faire signer des contrats avec des avantages, mais toujours rien », regrettent-ils, alignés près des gros engins disposés à l’intérieur de la base, les jeunes chauffeurs, qui sont versés dans la main d’œuvre, à qui l’entreprise avait promis des emplois comme conducteurs dès que nouvelles voitures seront disponibles, regrettent l’oubli de cette promesse par l’employeur qui a pourtant, disent-ils, reçu de nouveaux véhicules. Ils demandent au chef de l’État de les aider pour qu’ils retrouvent de meilleures conditions de travail.
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