Sans surprise, pour nombre d'observateurs avertis en tout cas, le Pds a fini de se métamorphoser suite à cette fronde de l'ex ministre de la santé sous Wade, nous voulons nommer Modou Diagne Fada. Une mue de la configuration du Pds, c'est à dire la réorganisation de ses différentes structures à laquelle il fallait s'attendre.
Pour nombre de personnes avec lesquels nous nous sommes longuement entretenus, "c'est une manière pour Wade de légitimer la candidature de son fils", d'autres applaudissent à tout rompre trouvant que Wade a fini de démontrer sa propension à promouvoir la démocratie militante. A preuve, renchérissent la deuxième catégorie, "des jeunes, militants dans l'âme, mus par une conviction à nulle autre pareille qui étaient à l'avant garde de bien des combats ont été promus à des postes de responsabilité".
Mais, le coup de théâtre aura été la rétrogradation du "frondeur en chef" (Modou Diagne Fada). Car, avec cette métamorphose du parti, il perd son statut de Secrétaire Nationale chargé des élections. Un "privilège" qui échoit au fidèle Sada Ndiaye. Figurez-vous qu'avec le statut de chargé des élections du parti, Diagne Fada était assez "balèze" et pour cause: il avait de facto une main mise sur le parti eu égard au fait qu'il avait à sa disposition le carnet d'adresses de toutes les cellules, fédérations, entre autres bref de tous les répondants qui ont souscrit aux idéaux de Wade. Il était en un mot incontournable dans la formation politique libérale.
Fada acceptera t'il d'être relégué ainsi au second plan? Va t'il claquer la porte? Autant de questions qui trouveront certainement réponse dans les prochaines heures.
Quoi qu'il en soit, Wade "la seule constante libérale" pour paraphraser ce surnom qui lui colle à la peau, a fini de changer radicalement la donne.
Il nous revient cependant qu'en faisant cette mue, "il signe ainsi la fin de la récréation bref entend faire montre que son parti reste debout et se fera fort de croiser le fer au regime", allusion faite aux décisives joutes législatives puis Présidentielles qui se profilent déjà à l'horizon.
Aussi, avons nous pu glaner que ce "noyau dur" va enfin mouiller le maillot car, chaque secrétaire national et ses adjoints sont désormais tenus de dresser un bilan mensuel. C'est dire...
Pour nombre de personnes avec lesquels nous nous sommes longuement entretenus, "c'est une manière pour Wade de légitimer la candidature de son fils", d'autres applaudissent à tout rompre trouvant que Wade a fini de démontrer sa propension à promouvoir la démocratie militante. A preuve, renchérissent la deuxième catégorie, "des jeunes, militants dans l'âme, mus par une conviction à nulle autre pareille qui étaient à l'avant garde de bien des combats ont été promus à des postes de responsabilité".
Mais, le coup de théâtre aura été la rétrogradation du "frondeur en chef" (Modou Diagne Fada). Car, avec cette métamorphose du parti, il perd son statut de Secrétaire Nationale chargé des élections. Un "privilège" qui échoit au fidèle Sada Ndiaye. Figurez-vous qu'avec le statut de chargé des élections du parti, Diagne Fada était assez "balèze" et pour cause: il avait de facto une main mise sur le parti eu égard au fait qu'il avait à sa disposition le carnet d'adresses de toutes les cellules, fédérations, entre autres bref de tous les répondants qui ont souscrit aux idéaux de Wade. Il était en un mot incontournable dans la formation politique libérale.
Fada acceptera t'il d'être relégué ainsi au second plan? Va t'il claquer la porte? Autant de questions qui trouveront certainement réponse dans les prochaines heures.
Quoi qu'il en soit, Wade "la seule constante libérale" pour paraphraser ce surnom qui lui colle à la peau, a fini de changer radicalement la donne.
Il nous revient cependant qu'en faisant cette mue, "il signe ainsi la fin de la récréation bref entend faire montre que son parti reste debout et se fera fort de croiser le fer au regime", allusion faite aux décisives joutes législatives puis Présidentielles qui se profilent déjà à l'horizon.
Aussi, avons nous pu glaner que ce "noyau dur" va enfin mouiller le maillot car, chaque secrétaire national et ses adjoints sont désormais tenus de dresser un bilan mensuel. C'est dire...