Vendredi 13 novembre au soir, Paris et Saint-Denis ont été touchés par des attentats qui ont fait au moins 129 morts et 352 blessés dont 99 en "urgence absolue". François Hollande a décrété l'état d'urgence et le rétablissement des contrôles aux frontières. Au lendemain de ce drame, nombreux sont ceux qui n'ont pu décrypter ces messages des auteurs de ces actes barbares.
En s'attaquant au Stade de France, ces terroristes, qui ont minutieusement planifié leur sale besogne, réglé comme sur du papier à musique, savaient pertinemment que le chef de l'Etat Francais allait rehausser de sa présence ce match de foot ball entre la France et l'Allemagne. En somme, ces terroristes ont voulu frapper fort le pays de Marianne, mais à également donne le la de leurs menaces qu'ils entendent mettre à exécution à partir de la France.
Même cas de figure pour cette attaque du Bataclan. Les terroristes n'étaient pas sans savoir le programme concocté ce vendredi 13 (tant redouté par les Francais). Un groupe musical venant des Usa y prestait en "live"; donc il y aurait assez de ressortissants américains. Ils ont voulu lancer une bravade aux Yankees, autrement dit aux américains. Et, l'on comprend donc la réaction spontanée du Président Obama. Qui a proposé un soutien de ses 52 Etats au pays de Marianne.
Ce qui est le plus frappant dans l'horreur qui s'est déroulée à Paris ce vendredi soir (un confrère l'a d'ailleurs souligné) c'est de voir à quel point, les colons du Sénégal, sont plus que vulnérables. La France, qui se sait menacé, n'a pourtant jamais dormi sur ses lauriers.
Les Francais avait pourtant été avertis à de nombreuses reprises sur le risque de nouveaux attentats terroristes en France. Il y a un mois à peine, le juge Trevidic avait prévenu : "le pire est devant nous", déclarait-il à Paris Match. Deux mois et demi après la tentative, heureusement stoppée, du Thalys fin août, qui aurait pu faire un carnage déjà, un peu plus de 10 mois après l'attentat du 7 janvier contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes (17 morts), c'est une terreur aveugle, brutale, sans pitié, qui s'est abattue sur la Ville Lumière, faisant plus de 130 morts et près de 200 blessés dont beaucoup en "urgence absolue", abattus par balle ou victimes de bombes kamikazes. Du jamais vu en France.
Les barbares qui ont perpétré ces lâches attaques contre des civils, victimes d'une guerre en apparence lointaine et pourtant si proches, ont bien planifié leur coup : avec six attaques presque simultanées et visiblement coordonnées, dans plusieurs quartiers de la capitale, aux terrasses des restaurants, au Bataclan et au stade de France. Bref, ils ont voulu montrer que les terroristes peuvent être si loin, mais si...près. Et, ceux qui ont commis cette ignominie ne portaient pas de Burqa. Suivez mon regard!
Ce qui est effrayant, n'en demeure pas moins leur modus opérandi. Avec une organisation effrayante, avec des petits groupes d'hommes implacables et déterminés, entrainés à tuer et prêt à mourir pour leur folie, ces "jihadistes" (comme d'aucuns les surnomment), ont voulu également lancer un message, certes à la France, mais au monde entier. A titre illustratif, ils ont sévi à quelques trois semaines de la COP21 qui doit faire venir les chefs d'Etat du monde entier à Paris, et des dizaines de milliers de participants pour une marche pour le climat. Comprenne qui pourra.
Ce qui est terrible, alors que les autorités Francaises ont dit avoir empêché déjà de nombreux attentats depuis le début de la guerre contre l'Etat islamique, c'est que cette fois, elles n'ont pas pu anticiper et donc agir contre celui de vendredi soir, qui dénote pourtant une organisation quasi-militaire prévue de longue date. A l'évidence, la police, la gendarmerie et l'armée déployés sur les points sensibles du territoire ne peuvent pas protéger tous les Français à toutes les terrasses de restaurant et dans toutes les salles de concert. Ni surveiller tous les présumés terroristes, quel que soit le renforcement des dispositifs de contrôle.
Il y'a donc de quoi se faire un sang d'encre pour le Sénégal. Qui, osons-le dire n'est pas aussi outillé que les colons Francais. Nous osons espérer que nos gouvernants, au premier chef, le Président Sall a une claire conscience, une conscience aigue de ce qui se passe. Loin de jouer aux Cassandre, il faut reconnaitre que l'Heure est grave!
Croisons les doigts, mais restons quand même éveillé, non sans prendre toutes les dispositions à même d'amoindrir les risques; mais surtout mettre l'accent sur une surveillance des étrangers. Car, nos frontières restent encore poreuses.
Aussi, l'Etat gagnerait-il à doter de moyens nos services d'ordre, particulièrement nos services de renseignements. Qui font partie des meilleurs de ce monde futile et périssable. Mais également créer les conditions à même de juguler la paupérisation galopante; allusion faite surtout au chômage des jeunes. Qui, sont souvent une proie facile pour ces terroristes.
Edouard
En s'attaquant au Stade de France, ces terroristes, qui ont minutieusement planifié leur sale besogne, réglé comme sur du papier à musique, savaient pertinemment que le chef de l'Etat Francais allait rehausser de sa présence ce match de foot ball entre la France et l'Allemagne. En somme, ces terroristes ont voulu frapper fort le pays de Marianne, mais à également donne le la de leurs menaces qu'ils entendent mettre à exécution à partir de la France.
Même cas de figure pour cette attaque du Bataclan. Les terroristes n'étaient pas sans savoir le programme concocté ce vendredi 13 (tant redouté par les Francais). Un groupe musical venant des Usa y prestait en "live"; donc il y aurait assez de ressortissants américains. Ils ont voulu lancer une bravade aux Yankees, autrement dit aux américains. Et, l'on comprend donc la réaction spontanée du Président Obama. Qui a proposé un soutien de ses 52 Etats au pays de Marianne.
Ce qui est le plus frappant dans l'horreur qui s'est déroulée à Paris ce vendredi soir (un confrère l'a d'ailleurs souligné) c'est de voir à quel point, les colons du Sénégal, sont plus que vulnérables. La France, qui se sait menacé, n'a pourtant jamais dormi sur ses lauriers.
Les Francais avait pourtant été avertis à de nombreuses reprises sur le risque de nouveaux attentats terroristes en France. Il y a un mois à peine, le juge Trevidic avait prévenu : "le pire est devant nous", déclarait-il à Paris Match. Deux mois et demi après la tentative, heureusement stoppée, du Thalys fin août, qui aurait pu faire un carnage déjà, un peu plus de 10 mois après l'attentat du 7 janvier contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes (17 morts), c'est une terreur aveugle, brutale, sans pitié, qui s'est abattue sur la Ville Lumière, faisant plus de 130 morts et près de 200 blessés dont beaucoup en "urgence absolue", abattus par balle ou victimes de bombes kamikazes. Du jamais vu en France.
Les barbares qui ont perpétré ces lâches attaques contre des civils, victimes d'une guerre en apparence lointaine et pourtant si proches, ont bien planifié leur coup : avec six attaques presque simultanées et visiblement coordonnées, dans plusieurs quartiers de la capitale, aux terrasses des restaurants, au Bataclan et au stade de France. Bref, ils ont voulu montrer que les terroristes peuvent être si loin, mais si...près. Et, ceux qui ont commis cette ignominie ne portaient pas de Burqa. Suivez mon regard!
Ce qui est effrayant, n'en demeure pas moins leur modus opérandi. Avec une organisation effrayante, avec des petits groupes d'hommes implacables et déterminés, entrainés à tuer et prêt à mourir pour leur folie, ces "jihadistes" (comme d'aucuns les surnomment), ont voulu également lancer un message, certes à la France, mais au monde entier. A titre illustratif, ils ont sévi à quelques trois semaines de la COP21 qui doit faire venir les chefs d'Etat du monde entier à Paris, et des dizaines de milliers de participants pour une marche pour le climat. Comprenne qui pourra.
Ce qui est terrible, alors que les autorités Francaises ont dit avoir empêché déjà de nombreux attentats depuis le début de la guerre contre l'Etat islamique, c'est que cette fois, elles n'ont pas pu anticiper et donc agir contre celui de vendredi soir, qui dénote pourtant une organisation quasi-militaire prévue de longue date. A l'évidence, la police, la gendarmerie et l'armée déployés sur les points sensibles du territoire ne peuvent pas protéger tous les Français à toutes les terrasses de restaurant et dans toutes les salles de concert. Ni surveiller tous les présumés terroristes, quel que soit le renforcement des dispositifs de contrôle.
Il y'a donc de quoi se faire un sang d'encre pour le Sénégal. Qui, osons-le dire n'est pas aussi outillé que les colons Francais. Nous osons espérer que nos gouvernants, au premier chef, le Président Sall a une claire conscience, une conscience aigue de ce qui se passe. Loin de jouer aux Cassandre, il faut reconnaitre que l'Heure est grave!
Croisons les doigts, mais restons quand même éveillé, non sans prendre toutes les dispositions à même d'amoindrir les risques; mais surtout mettre l'accent sur une surveillance des étrangers. Car, nos frontières restent encore poreuses.
Aussi, l'Etat gagnerait-il à doter de moyens nos services d'ordre, particulièrement nos services de renseignements. Qui font partie des meilleurs de ce monde futile et périssable. Mais également créer les conditions à même de juguler la paupérisation galopante; allusion faite surtout au chômage des jeunes. Qui, sont souvent une proie facile pour ces terroristes.
Edouard