«L’ampleur des résultats tangibles au profit des populations, a naturellement éprouvé les finances publiques avec un surcroit d’endettement et de dépenses courantes», a clairement prévenu, ce jeudi, le ministre des Finances sortant, à son successeur Cheikh Diba.
L’autre cause de cette situation délicate, reste, selon toujours Mamadou Moustapha Bâ, les effets des tensions géopolitiques. Mais, M. Bâ se dit persuadé, que l’ex Directeur de la programmation budgétaire, devenu l’argentier de l’Etat, saura prendre les «mesures d’ajustement nécessaires face à ce surcroit d’endettement et une augmentation des dépenses courantes liées».
Pour lui donc, le défi majeur du régime nouveau, sur le plan budgétaire, «c’est la restauration des marges de manœuvre budgétaire de l’Etat par la maximisation des recettes, la rationalisation des dépenses et une maitrise de la dette.»
Igfm
L’autre cause de cette situation délicate, reste, selon toujours Mamadou Moustapha Bâ, les effets des tensions géopolitiques. Mais, M. Bâ se dit persuadé, que l’ex Directeur de la programmation budgétaire, devenu l’argentier de l’Etat, saura prendre les «mesures d’ajustement nécessaires face à ce surcroit d’endettement et une augmentation des dépenses courantes liées».
Pour lui donc, le défi majeur du régime nouveau, sur le plan budgétaire, «c’est la restauration des marges de manœuvre budgétaire de l’Etat par la maximisation des recettes, la rationalisation des dépenses et une maitrise de la dette.»
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