Ça part dans tous les sens, installant une véritable confusion au sommet de l’Etat. Quand le distingué président du groupe parlementaire de l’armée mexicaine déclare au micro de F24 qu’il n’y a pas de crise et que nos instituions fonctionnent normalement, c’est la Garde des Sceaux et ministre de la Justice qui se montre alarmiste.
Selon la bonne dame qui semble avoir perdu toute sa lucidité et qui avait été la première à vendre aux médias français l’existence de « forces occultes » lors des évènements de mars 2021, nous vivons une crise comme nous n’en avons avions jamais connu auparavant. C’est encore à un média français, en l’occurrence Le Figaro, qu’elle a vendu cette ineptie. Elle doit être la seule à vivre cette crise. Tremblez messieurs et dames, rien ne va
plus dans ce charmant pays que la Première dame nous a changés en nous sortant de la morgue monotonie de vieilles qui l’ont précédée au Palais. Un Palais dans lequel elle a introduit des senteurs plus canailles. C’est certainement ces enivrants artifices qui jouent des tours au Chef pris en tenailles entre la clameur internationale et celle de nos compatriotes. La crise dont parle la bonne avocate serait certainement cette désapprobation totale des acteurs de tous les secteurs de la vie nationale qui se dressent contre le projet du Chef de s’octroyer quelques mois supplémentaires au Palais de la République. Et ça commence à sentir mauvais pour lui quand tout le monde s’oppose et bande les muscles. Syndicats de tous les secteurs d’activités, employeurs, religieux et la bonne vieille société civile… Quand toutes ces couches de la société, en plus des acteurs de la politique, se dressent et disent non, le bon sens serait d’avoir une bonne lecture de cette nouvelle situation plutôt que de s’entêter à un forcing sans être sûr d’en sortir victorieux. Ou de s’enorgueillir d’avoir les forces de sécurité et de défense dans sa poche. L’intelligence consisterait plutôt à sonder le
mécontentement généralisé de la population et trouver les moyens d’y répondre. Plutôt que de faire parler les armes face à son peuple, il vaudrait mieux brandir le rameau d’olivier devant lui. Ou agiter le drapeau blanc. Le blanc, cette couleur dont vont justement se vêtir les citoyens de ce pays ce vendredi, pour protester contre le coup d’Etat constitutionnel du Chef.
kaccoor bi – le temoin
Selon la bonne dame qui semble avoir perdu toute sa lucidité et qui avait été la première à vendre aux médias français l’existence de « forces occultes » lors des évènements de mars 2021, nous vivons une crise comme nous n’en avons avions jamais connu auparavant. C’est encore à un média français, en l’occurrence Le Figaro, qu’elle a vendu cette ineptie. Elle doit être la seule à vivre cette crise. Tremblez messieurs et dames, rien ne va
plus dans ce charmant pays que la Première dame nous a changés en nous sortant de la morgue monotonie de vieilles qui l’ont précédée au Palais. Un Palais dans lequel elle a introduit des senteurs plus canailles. C’est certainement ces enivrants artifices qui jouent des tours au Chef pris en tenailles entre la clameur internationale et celle de nos compatriotes. La crise dont parle la bonne avocate serait certainement cette désapprobation totale des acteurs de tous les secteurs de la vie nationale qui se dressent contre le projet du Chef de s’octroyer quelques mois supplémentaires au Palais de la République. Et ça commence à sentir mauvais pour lui quand tout le monde s’oppose et bande les muscles. Syndicats de tous les secteurs d’activités, employeurs, religieux et la bonne vieille société civile… Quand toutes ces couches de la société, en plus des acteurs de la politique, se dressent et disent non, le bon sens serait d’avoir une bonne lecture de cette nouvelle situation plutôt que de s’entêter à un forcing sans être sûr d’en sortir victorieux. Ou de s’enorgueillir d’avoir les forces de sécurité et de défense dans sa poche. L’intelligence consisterait plutôt à sonder le
mécontentement généralisé de la population et trouver les moyens d’y répondre. Plutôt que de faire parler les armes face à son peuple, il vaudrait mieux brandir le rameau d’olivier devant lui. Ou agiter le drapeau blanc. Le blanc, cette couleur dont vont justement se vêtir les citoyens de ce pays ce vendredi, pour protester contre le coup d’Etat constitutionnel du Chef.
kaccoor bi – le temoin