Anticipant un rassemblement sans précédent, les organisateurs annoncent un afflux record de plus de 70 000 participants. Parmi eux, figure la présence très attendue du pape François. Cependant, une absence notable se fait déjà remarquer : celle du président américain Joe Biden, qui a choisi de ne pas assister à cette COP28.
Débat autour du choix de Dubaï
Le choix de Dubaï comme lieu de cet événement international majeur a suscité des vagues de critiques, notamment de la part des défenseurs de l'environnement.
Ces derniers exigent des mesures concrètes pour lutter contre le réchauffement climatique. La controverse découle principalement du fait que les Emirats arabes unis sont d'importants producteurs de pétrole, générant environ 4 millions de barils de pétrole brut par jour. Cette production, vendue et consommée à l'échelle mondiale, contribue aux émissions de gaz à effet de serre alimentant le changement climatique, comme l'explique Jon Gambrell, directeur de l'information chez AP.
De plus, le choix de Sultan Ahmed Al Jaber, PDG de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc, pour présider cet événement majeur est lui aussi contesté. Cette nomination a soulevé des interrogations quant à la neutralité des décisions prises lors de la COP28, alimentant ainsi le débat sur les liens entre intérêts économiques et réelles avancées environnementales.
Appel du patron de l'ONU
Malgré ces controverses, plusieurs figures marqueront de leur présence cette COP28. Le Secrétaire général des Nations unies, António Guterres, se rendra à Dubaï pour adresser un message urgent aux dirigeants politiques mondiaux. Depuis l'Antarctique, il a exhorté les leaders à prendre des mesures immédiates pour lutter contre le changement climatique.
Dans un geste inédit, le pape François s'apprête à prononcer un discours très attendu. Son allocution, prévue pour vendredi, devrait dénoncer l'inaction des nations concernées tout en les encourageant à réduire drastiquement leurs émissions de gaz à effet de serre.
La participation du pape à cet événement est historique, marquant ainsi la première présence physique d'un pontife à un sommet de la COP depuis sa création en 1995.
Débat autour du choix de Dubaï
Le choix de Dubaï comme lieu de cet événement international majeur a suscité des vagues de critiques, notamment de la part des défenseurs de l'environnement.
Ces derniers exigent des mesures concrètes pour lutter contre le réchauffement climatique. La controverse découle principalement du fait que les Emirats arabes unis sont d'importants producteurs de pétrole, générant environ 4 millions de barils de pétrole brut par jour. Cette production, vendue et consommée à l'échelle mondiale, contribue aux émissions de gaz à effet de serre alimentant le changement climatique, comme l'explique Jon Gambrell, directeur de l'information chez AP.
De plus, le choix de Sultan Ahmed Al Jaber, PDG de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc, pour présider cet événement majeur est lui aussi contesté. Cette nomination a soulevé des interrogations quant à la neutralité des décisions prises lors de la COP28, alimentant ainsi le débat sur les liens entre intérêts économiques et réelles avancées environnementales.
Appel du patron de l'ONU
Malgré ces controverses, plusieurs figures marqueront de leur présence cette COP28. Le Secrétaire général des Nations unies, António Guterres, se rendra à Dubaï pour adresser un message urgent aux dirigeants politiques mondiaux. Depuis l'Antarctique, il a exhorté les leaders à prendre des mesures immédiates pour lutter contre le changement climatique.
Dans un geste inédit, le pape François s'apprête à prononcer un discours très attendu. Son allocution, prévue pour vendredi, devrait dénoncer l'inaction des nations concernées tout en les encourageant à réduire drastiquement leurs émissions de gaz à effet de serre.
La participation du pape à cet événement est historique, marquant ainsi la première présence physique d'un pontife à un sommet de la COP depuis sa création en 1995.