Selon l’agence d’information du Burkina, ce sont « près de 3 000 terroristes » qui ont attaqué la ville de Djibo. Des témoins sur place expliquent que les assaillants sont venus en très grand nombre et se sont attaqués aux points stratégiques de la ville, dont le camp du détachement militaire.
« Les combats ont été particulièrement violents au niveau du camp militaire », souligne l’agence d’information du Burkina. Pendant plusieurs heures, les assaillants l'ont occupé tout comme le reste de la ville. Une source sécuritaire révèle que « des soldats sont tombés, toutes les armes collectives, toutes les munitions et les véhicules blindés emportés. ».
Une contre-offensive a été menée et « plus de 400 terroristes » tués, affirme l’agence d’information du Burkina. Un chiffre qui ne peut pas être vérifié de manière indépendante. Par ailleurs, l'agence ne mentionne pas d’éventuelles pertes et dégâts matériels du côté des forces burkinabè.
Depuis plus de deux ans, la ville de Djibo est sous le blocus de groupes armés terroristes. Les habitants sont ravitaillés grâce à un pont aérien du Programme alimentaire mondial (PAM) ou par les rares convois escortés par l’armée du Burkina Faso. Ces convois font régulièrement l’objet d’attaques des groupes armés terroristes.
RFI
« Les combats ont été particulièrement violents au niveau du camp militaire », souligne l’agence d’information du Burkina. Pendant plusieurs heures, les assaillants l'ont occupé tout comme le reste de la ville. Une source sécuritaire révèle que « des soldats sont tombés, toutes les armes collectives, toutes les munitions et les véhicules blindés emportés. ».
Une contre-offensive a été menée et « plus de 400 terroristes » tués, affirme l’agence d’information du Burkina. Un chiffre qui ne peut pas être vérifié de manière indépendante. Par ailleurs, l'agence ne mentionne pas d’éventuelles pertes et dégâts matériels du côté des forces burkinabè.
Depuis plus de deux ans, la ville de Djibo est sous le blocus de groupes armés terroristes. Les habitants sont ravitaillés grâce à un pont aérien du Programme alimentaire mondial (PAM) ou par les rares convois escortés par l’armée du Burkina Faso. Ces convois font régulièrement l’objet d’attaques des groupes armés terroristes.
RFI