Le Dg de la Banque de Dakar (Bdk) clarifie certaines zones d’ombre qui entourent l’actionnariat de l’institution qui va «démarrer effectivement (ses) activités le 11 juin 2015». Dans un entretien qu’il a accordé à jeune Afrique et repris par Le Populaire, Vasco Duarte-Silva parle de la polémique au sujet de la présence supposée ou non d’Aliou Sall, frère du président de la République du Sénégal dans le capital de la banque.
Même si Vasco Duarte-Silva dit qu’ils sont «restés sereins malgré les rumeurs persistantes et surtout irréalistes en attendant le moment opportun pour éclairer définitivement l'opinion», le Dg de Bdk avoue : «Nous sommes très gênés par cette situation dans laquelle nous estimons avoir exposé Aliou Sall (qui) n'est pas actionnaire et ne représente aucun actionnaire ni de Bdk, ni de Groupe Bdk, ni de Bdk financial group». Avant d’expliquer comment le frère de SMS est tombé dans la soupe bancaire. «Pour l'histoire, nous avons pris l'attache de M. Sall à notre arrivée à (Dakar), sur recommandation d'un ami commun. Au cours de nos entretiens, nous avons évoqué, entre autres sujets, notre projet d'implantation d'un groupe bancaire en Afrique subsaharienne et lui avions fait part de nos contacts assez avancés avec un pays de la zone Cemac», dit Duarte-Silva.
Selon lui, «c'est alors qu'il nous a exposé tous les atouts de la zone Uemoa et de la place de Dakar en particulier. Pour mieux nous édifier, il nous a arrangé des rencontres avec des grands cabinets internationaux de la place qui ont fini par nous convaincre de démarrer notre projet par la capitale sénégalaise. Il continue de nous accompagner dans les autres pays de la zone pour nos futures installations». Le Dg de Bdk révèle à ce sujet : «C'est pour cela que nous lui avons proposé un poste d'administrateur indépendant, comme du reste nous l'avons fait avec Mamadou Seck (ancien président de l’Assemblée nationale) qui nous a été présenté dans les mêmes conditions et M. Jean Luc Konan qui est un banquier de métier». Revenant sur les origines de la banque, le Dg indique que «le holding Dakar Financial Group (désormais BDK Financial Group), a été fondé, en mai 2014, au Luxembourg, puis Groupe BDK, en novembre 2014, au Sénégal, pour porter les projets de banque dans la zone Uemoa».
Même si Vasco Duarte-Silva dit qu’ils sont «restés sereins malgré les rumeurs persistantes et surtout irréalistes en attendant le moment opportun pour éclairer définitivement l'opinion», le Dg de Bdk avoue : «Nous sommes très gênés par cette situation dans laquelle nous estimons avoir exposé Aliou Sall (qui) n'est pas actionnaire et ne représente aucun actionnaire ni de Bdk, ni de Groupe Bdk, ni de Bdk financial group». Avant d’expliquer comment le frère de SMS est tombé dans la soupe bancaire. «Pour l'histoire, nous avons pris l'attache de M. Sall à notre arrivée à (Dakar), sur recommandation d'un ami commun. Au cours de nos entretiens, nous avons évoqué, entre autres sujets, notre projet d'implantation d'un groupe bancaire en Afrique subsaharienne et lui avions fait part de nos contacts assez avancés avec un pays de la zone Cemac», dit Duarte-Silva.
Selon lui, «c'est alors qu'il nous a exposé tous les atouts de la zone Uemoa et de la place de Dakar en particulier. Pour mieux nous édifier, il nous a arrangé des rencontres avec des grands cabinets internationaux de la place qui ont fini par nous convaincre de démarrer notre projet par la capitale sénégalaise. Il continue de nous accompagner dans les autres pays de la zone pour nos futures installations». Le Dg de Bdk révèle à ce sujet : «C'est pour cela que nous lui avons proposé un poste d'administrateur indépendant, comme du reste nous l'avons fait avec Mamadou Seck (ancien président de l’Assemblée nationale) qui nous a été présenté dans les mêmes conditions et M. Jean Luc Konan qui est un banquier de métier». Revenant sur les origines de la banque, le Dg indique que «le holding Dakar Financial Group (désormais BDK Financial Group), a été fondé, en mai 2014, au Luxembourg, puis Groupe BDK, en novembre 2014, au Sénégal, pour porter les projets de banque dans la zone Uemoa».