Le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo a affirmé, lundi, à Dakar, qu’aucune date n’avait encore été arrêtée pour la tenue du référendum sur la réduction du mandat du président de la République, précisant que ses services seraient prêts à y répondre favorablement, si une décision venait à être prise dans ce sens.
‘’Le calendrier tel qu’il existe ne fait état que de la tenue d’une élection législative en 2017, d’une présidentielle et des élections locales pour l’année 2019’’, a-t-il dit face à la presse au cours d’une visite de travail dans les locaux de la Commission électorale nationale autonome (CENA).
‘’S’il est décidé d’ici là, la tenue d’une élection référendaire, on s’y adaptera dans tous les cas de figure. Ce n’est pas difficile car, à mon avis, c’est l’une des élections les plus faciles à organiser et nos services sont dans des dispositions pour répondre favorablement à cette décision. Mais, pour le moment, ce n’est pas le cas. C’est une décision politique qu’on attend’’, a t-il ajouté.
Abdoulaye Daouda Diallo a également annoncé une révision ou une réécriture du code électoral, qui interviendra au premier trimestre 2016 à la suite d’une rencontre entre le ministère de l’Intérieur, la Cena et toutes les formations politiques parties prenantes au processus électoral.
Une révision du code des collectivités locales suivra les conclusions de l’atelier organisé sur le contentieux électoral au lendemain des locales de 2014, a notamment indiqué le ministre de l’Intérieur.
Abordant la question de la ‘’rationalisation’’ des 225 partis politiques au Sénégal, il a indiqué qu’il s’agira d’un premier jalon vers leur financement.
Le président de la CENA, Doudou Ndir, a pour sa part évoqué un partenariat et une convergence de vues avec le ministère de l’Intérieur après les grandes décisions annoncées par Abdoulaye Daouda Diallo.
Auteur: Aps - APS
‘’Le calendrier tel qu’il existe ne fait état que de la tenue d’une élection législative en 2017, d’une présidentielle et des élections locales pour l’année 2019’’, a-t-il dit face à la presse au cours d’une visite de travail dans les locaux de la Commission électorale nationale autonome (CENA).
‘’S’il est décidé d’ici là, la tenue d’une élection référendaire, on s’y adaptera dans tous les cas de figure. Ce n’est pas difficile car, à mon avis, c’est l’une des élections les plus faciles à organiser et nos services sont dans des dispositions pour répondre favorablement à cette décision. Mais, pour le moment, ce n’est pas le cas. C’est une décision politique qu’on attend’’, a t-il ajouté.
Abdoulaye Daouda Diallo a également annoncé une révision ou une réécriture du code électoral, qui interviendra au premier trimestre 2016 à la suite d’une rencontre entre le ministère de l’Intérieur, la Cena et toutes les formations politiques parties prenantes au processus électoral.
Une révision du code des collectivités locales suivra les conclusions de l’atelier organisé sur le contentieux électoral au lendemain des locales de 2014, a notamment indiqué le ministre de l’Intérieur.
Abordant la question de la ‘’rationalisation’’ des 225 partis politiques au Sénégal, il a indiqué qu’il s’agira d’un premier jalon vers leur financement.
Le président de la CENA, Doudou Ndir, a pour sa part évoqué un partenariat et une convergence de vues avec le ministère de l’Intérieur après les grandes décisions annoncées par Abdoulaye Daouda Diallo.
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