Il serait lié à trois récentes attaques ou tentatives d’attaques terroristes en France : le meurtre d'un couple de policiers à Magnanville, celui d'un prêtre à Saint-Etienne-du-Rouvray et l’affaire des bonbonnes de gaz retrouvées dans une voiture à Paris. Originaire de Roanne, dans la région lyonnaise, Rachid Kassim s’est radicalisé à partir de 2011 après un voyage en Algérie.
Ce Français de 29 ans a rejoint la Syrie l'année dernière. Il est aujourd’hui soupçonné d'avoir été en contact avec les auteurs de ces attaques et même de les avoir inspirées de manière plus ou moins directe via l’application Telegram qu'il inonde régulièrement de messages et de commentaires sur ses chaînes publiques ou par messages privés. Plusieurs adolescents parisiens soupçonnés de vouloir commettre des attentats et interpellés ces derniers jours auraient ainsi été inspirés par ses appels au meurtre.
Certains intégristes français lui ont reproché de s'être allié avec des pieds nickelés, provoquant l'échec de plusieurs opérations. Mais les services de renseignement craignent qu'il s'agisse d'une stratégie réfléchie. La multiplication de petits groupes, même peu aguerris, pourrait saturer les services de police et laisser la voie libre à de « vrais opérationnels ».
Ce Français de 29 ans a rejoint la Syrie l'année dernière. Il est aujourd’hui soupçonné d'avoir été en contact avec les auteurs de ces attaques et même de les avoir inspirées de manière plus ou moins directe via l’application Telegram qu'il inonde régulièrement de messages et de commentaires sur ses chaînes publiques ou par messages privés. Plusieurs adolescents parisiens soupçonnés de vouloir commettre des attentats et interpellés ces derniers jours auraient ainsi été inspirés par ses appels au meurtre.
Certains intégristes français lui ont reproché de s'être allié avec des pieds nickelés, provoquant l'échec de plusieurs opérations. Mais les services de renseignement craignent qu'il s'agisse d'une stratégie réfléchie. La multiplication de petits groupes, même peu aguerris, pourrait saturer les services de police et laisser la voie libre à de « vrais opérationnels ».