Non contente d'exporter sa main d’œuvre dans tous les pays où leur expertise est souhaitée en fonction des investissements accordés à nos gouvernements déficitaires,la Chine exporte des prostituées en Afrique et particulièrement au Sénégal.
Cette nouvelle forme de travailleurs a commencé à débarquer dans notre capitale au début des années 2000,ces chinoises sont venues en même temps que ces ouvriers qui battissent les routes,les stades ou les plateformes pétrolières.Et ce n'est point une surprise de constater que le plus vieux travail du monde prospère là où se trouvent des chantiers mais c'est l'ampleur du phénomène qui surprend.
De nos investigations à l'image de limiers, dakarposte tient qu'une étude de la Banque Africaine de Développement chiffre à plus de 20 milles travailleuses du sexe chinoises en Afrique Subsaharienne et que l'élargissement de la clientèle s'est élargie avec l'explosion de la classe moyenne en Afrique.
Certains milieux Chinois et Sénégalais se sont introduits dans le créneau pour implanter qui des salons de massage qui des restaurants et Clubs où ces chinoises peuvent s'adonner à leur travail.Leur forte présence dans certains clubs de Dakar a fini de mécontenter les travailleuses du sexe locales qui y voient une discrimination dans la mesure où leurs collègues chinoises ne sont jamais inquiétées à moins de dénonciation publique.
Elles sont tellement à l'aise à Dakar qu'elles ne comptent plus rentrer nous confie un agent retraité du ministère des Affaires Etrangères qui a eu à accueillir de nombreuses chinoises dans le cadre du FODES ( Fonds de développement économique et social) et qui continuer de travailler avec les entreprises chinoises au Sénégal.
Et cette même source de nous renseigner sur le nombre de chinoises présentes au Sénégal qui tournerait autour de plusieurs dizaines et qui malgré les apparences travaillent pour une certaine Mafia à qui elles remettent la moitié de leurs gains.Et chaque fois qu'elles ont maille à partir avec les services de police,ce sont ces protecteurs qui viennent les retirer des griffes de la justice.
En tous les cas , ces "beautés de Shanghaï" ont un atout et non des moindres: leur exotisme leur assure un tel succès qu'elles n'envisagent pas partir.
Cette nouvelle forme de travailleurs a commencé à débarquer dans notre capitale au début des années 2000,ces chinoises sont venues en même temps que ces ouvriers qui battissent les routes,les stades ou les plateformes pétrolières.Et ce n'est point une surprise de constater que le plus vieux travail du monde prospère là où se trouvent des chantiers mais c'est l'ampleur du phénomène qui surprend.
De nos investigations à l'image de limiers, dakarposte tient qu'une étude de la Banque Africaine de Développement chiffre à plus de 20 milles travailleuses du sexe chinoises en Afrique Subsaharienne et que l'élargissement de la clientèle s'est élargie avec l'explosion de la classe moyenne en Afrique.
Certains milieux Chinois et Sénégalais se sont introduits dans le créneau pour implanter qui des salons de massage qui des restaurants et Clubs où ces chinoises peuvent s'adonner à leur travail.Leur forte présence dans certains clubs de Dakar a fini de mécontenter les travailleuses du sexe locales qui y voient une discrimination dans la mesure où leurs collègues chinoises ne sont jamais inquiétées à moins de dénonciation publique.
Elles sont tellement à l'aise à Dakar qu'elles ne comptent plus rentrer nous confie un agent retraité du ministère des Affaires Etrangères qui a eu à accueillir de nombreuses chinoises dans le cadre du FODES ( Fonds de développement économique et social) et qui continuer de travailler avec les entreprises chinoises au Sénégal.
Et cette même source de nous renseigner sur le nombre de chinoises présentes au Sénégal qui tournerait autour de plusieurs dizaines et qui malgré les apparences travaillent pour une certaine Mafia à qui elles remettent la moitié de leurs gains.Et chaque fois qu'elles ont maille à partir avec les services de police,ce sont ces protecteurs qui viennent les retirer des griffes de la justice.
En tous les cas , ces "beautés de Shanghaï" ont un atout et non des moindres: leur exotisme leur assure un tel succès qu'elles n'envisagent pas partir.