Joe Biden a passé une partie de son samedi en réunion avec son conseil de sécurité à la Maison Blanche, et ce dimanche 14 avril au matin, il était encore en conférence téléphonique avec les dirigeants du G7, explique notre correspondant à Houston, Thomas Harms.
Mais dès samedi soir, le président américain a appelé le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. Tous deux ont convenu d'un état de fait : l'impact de la riposte de Téhéran, intervenue deux semaines après le bombardement de l'ambassade d'Iran en Syrie, a été très limité.
Dans son appel à Benyamin Netanyahu, Joe Biden a également insisté : il ne faut pas qu'Israël réponde à l'offensive iranienne. Washington ne soutiendra pas d'initiative en ce sens, laquelle risquerait un embrasement de toute la région. « Nous ne ferons partie d'aucune réponse qu'ils entendent mener. Nous ne nous voyons pas participer à un tel acte », a renchéri dimanche un haut responsable américain à la presse, sous couvert d'anonymat. Les dirigeants de plusieurs puissances appellent eux aussi à la désescalade.
Néanmoins, les États-Unis maintiennent leur soutien entier à l'État hébreu. Dans un message publié sur X (ex-Twitter), Joe Biden martèle : « L'engagement américain pour la sécurité d'Israël contre les menaces venues de l'Iran est blindé, inoxydable. »
Une position répétée sur les chaînes de télévision américaines par John Kirby, porte-parole sécurité de la Maison Blanche : « Qu’Israël veuille répondre ou non d'être de quelle manière, c'est leur prérogative. Nous le comprenons et respectons leur décision. Mais le président américain a été très clair : nous ne cherchons pas la guerre avec l'Iran, nous ne cherchons pas l'escalade, mais nous continueront a défendre Israël. »
Les forces américaines ont ainsi participé au Dôme de fer protégeant Israël et ont abattu plusieurs drones en Syrie, en Irak et en Jordanie. Des forces navales et aériennes avaient été déployées en nombre dans la région, en prévision de cette réponse attendue de l'Iran.
Mais dès samedi soir, le président américain a appelé le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu. Tous deux ont convenu d'un état de fait : l'impact de la riposte de Téhéran, intervenue deux semaines après le bombardement de l'ambassade d'Iran en Syrie, a été très limité.
Dans son appel à Benyamin Netanyahu, Joe Biden a également insisté : il ne faut pas qu'Israël réponde à l'offensive iranienne. Washington ne soutiendra pas d'initiative en ce sens, laquelle risquerait un embrasement de toute la région. « Nous ne ferons partie d'aucune réponse qu'ils entendent mener. Nous ne nous voyons pas participer à un tel acte », a renchéri dimanche un haut responsable américain à la presse, sous couvert d'anonymat. Les dirigeants de plusieurs puissances appellent eux aussi à la désescalade.
Néanmoins, les États-Unis maintiennent leur soutien entier à l'État hébreu. Dans un message publié sur X (ex-Twitter), Joe Biden martèle : « L'engagement américain pour la sécurité d'Israël contre les menaces venues de l'Iran est blindé, inoxydable. »
Une position répétée sur les chaînes de télévision américaines par John Kirby, porte-parole sécurité de la Maison Blanche : « Qu’Israël veuille répondre ou non d'être de quelle manière, c'est leur prérogative. Nous le comprenons et respectons leur décision. Mais le président américain a été très clair : nous ne cherchons pas la guerre avec l'Iran, nous ne cherchons pas l'escalade, mais nous continueront a défendre Israël. »
Les forces américaines ont ainsi participé au Dôme de fer protégeant Israël et ont abattu plusieurs drones en Syrie, en Irak et en Jordanie. Des forces navales et aériennes avaient été déployées en nombre dans la région, en prévision de cette réponse attendue de l'Iran.