Dakarposte tient sources A, comme disent les services de renseignements que le Sénégal a fini de prendre au sérieux les menaces terroristes depuis les premières heures de l'invasion du Nord Mali par les armées Djihadistes.
Aussi, nous revient-il que nos autorités ont remobilisé leurs troupes depuis la dernière attaque terroriste survenue à Grand Bassam en Cote d'Ivoire qui en même temps que le Sénégal était classé par les spécialistes du Contre Terrorisme comme les futures cibles d'AQMI ou l'ex Boko Haram. Et cela parce que les capitales ivoirienne et sénégalaise constituaient une cible privilégiée pour les mouvements djihadistes à cause de la forte concentration de grands groupes français : Carrefour, Orange, CFAO, BNP, Société générale, Bolloré…,sans compter l'appui logistique à l'opération BARKHANE.
L'attaque de dimanche démontre par ailleurs les failles du dispositif sécuritaire aux abords des plages,des stations balnéaires,les restaurants et bars très fréquentées notamment les week-end par les expatriés. Des dysfonctionnements persistants malgré l’antécédent de l’attentat commis par Daech sur la plage de Sousse en Tunisie en juin 2015 et les alertes répétées de ces derniers mois.
Jusqu'ici les travaux d'une équipe multi task composée des différents services de sécurité de pays de la sous région multiplient discrètement les séances de travail pour inventorier, caractériser et définir le niveau de menace potentielle de plusieurs sites susceptibles d'être dans le viseur de personnes mal intentionnées et endoctrinées par les djihadistes. Visiblement, les mesures d'anticipation et de prévention fonctionnent jusqu'ici,mais l'attaque de Grand Bassam remet tout sur le tapis tellement ces terroristes sont imprévisibles.Nombreux sont les spécialistes qui se demandent jusqu'à quand cette relative quiétude va perdurer? C'est ainsi que le branle bas de combat a été noté depuis lundi aux premières heures dans tout ce que ce pays compte comme services de renseignements et de lutte anti terroristes.Des retraités ont été rappelés au sein d'une nouvelle unité tenue secrète et dépendant exclusivement du Président de la République avec des moyens colossaux.
Redoutée depuis des mois,éviter une attaque de grande ampleur est la mission donnée aux différents services
Les anciennes pistes sont en train d’être rafraichies et rien ne sera laissé au hasard surtout les réseaux tissés pas à pas dans nos pays d’influence française, les groupes terroristes sapent les pouvoirs en place, largement impuissants face à la menace.La surveillance des milieux radicaux a été intensifiée et des consignes données à tous les hôteliers de relever leur dispositif sécuritaire à défaut de fermer selon les termes de l’Arrêté ministériel
C'est dans cet ordre d'idées que les chancelleries occidentales basées à Dakar ont,selon nos sources, fait parvenir à leurs compatriotes les consignes particulières édictées par le Quai d’Orsay suivant les rapports de leurs services basés sur place et c'est ainsi que des endroits sont jugés infréquentables et que le mieux était d'éviter les endroits à forte concentration d'occidentaux.
Aussi, nous revient-il que nos autorités ont remobilisé leurs troupes depuis la dernière attaque terroriste survenue à Grand Bassam en Cote d'Ivoire qui en même temps que le Sénégal était classé par les spécialistes du Contre Terrorisme comme les futures cibles d'AQMI ou l'ex Boko Haram. Et cela parce que les capitales ivoirienne et sénégalaise constituaient une cible privilégiée pour les mouvements djihadistes à cause de la forte concentration de grands groupes français : Carrefour, Orange, CFAO, BNP, Société générale, Bolloré…,sans compter l'appui logistique à l'opération BARKHANE.
L'attaque de dimanche démontre par ailleurs les failles du dispositif sécuritaire aux abords des plages,des stations balnéaires,les restaurants et bars très fréquentées notamment les week-end par les expatriés. Des dysfonctionnements persistants malgré l’antécédent de l’attentat commis par Daech sur la plage de Sousse en Tunisie en juin 2015 et les alertes répétées de ces derniers mois.
Jusqu'ici les travaux d'une équipe multi task composée des différents services de sécurité de pays de la sous région multiplient discrètement les séances de travail pour inventorier, caractériser et définir le niveau de menace potentielle de plusieurs sites susceptibles d'être dans le viseur de personnes mal intentionnées et endoctrinées par les djihadistes. Visiblement, les mesures d'anticipation et de prévention fonctionnent jusqu'ici,mais l'attaque de Grand Bassam remet tout sur le tapis tellement ces terroristes sont imprévisibles.Nombreux sont les spécialistes qui se demandent jusqu'à quand cette relative quiétude va perdurer? C'est ainsi que le branle bas de combat a été noté depuis lundi aux premières heures dans tout ce que ce pays compte comme services de renseignements et de lutte anti terroristes.Des retraités ont été rappelés au sein d'une nouvelle unité tenue secrète et dépendant exclusivement du Président de la République avec des moyens colossaux.
Redoutée depuis des mois,éviter une attaque de grande ampleur est la mission donnée aux différents services
Les anciennes pistes sont en train d’être rafraichies et rien ne sera laissé au hasard surtout les réseaux tissés pas à pas dans nos pays d’influence française, les groupes terroristes sapent les pouvoirs en place, largement impuissants face à la menace.La surveillance des milieux radicaux a été intensifiée et des consignes données à tous les hôteliers de relever leur dispositif sécuritaire à défaut de fermer selon les termes de l’Arrêté ministériel
C'est dans cet ordre d'idées que les chancelleries occidentales basées à Dakar ont,selon nos sources, fait parvenir à leurs compatriotes les consignes particulières édictées par le Quai d’Orsay suivant les rapports de leurs services basés sur place et c'est ainsi que des endroits sont jugés infréquentables et que le mieux était d'éviter les endroits à forte concentration d'occidentaux.