Appelé à la barre, ce lundi matin, pour répondre du délit de conduite sans permis et assurance, l’artiste chanteur, Sidy Diop a devant la barre du tribunal correctionnel reconnu partiellement les faits.
« J'ai conduit sans permis mais je disposais d’une assurance», a soutenu le mis en cause. Interpellé sur ses motivations de conduire sans permis. Il s’est plus accroché sur l’assurance dont il soutient être en sa possession.
« On m’a dit que l’assurance n’est pas conforme. Celle que j’ai, est en cours de validité jusqu'en 2025», a-t-il déclaré. Il ressort des débats d’audience que le numéro de police de l’assurance ne correspondait à aucun numéro des bases de données de CNART ce qui a amené le juge à lui demander d’où il avait eu le document. Le chanteur a expliqué que l’assurance lui a été délivré par son calloborateur qui lui a vendu son véhicule. Interpellé sur l’identité de celui-ci, il dira oublier son nom.
« J’avais envoyé mon frère pour gérer les transactions pour l’achat de la voiture», a indiqué l’artiste chanteur.
Dans sa réquisition, le Procureur a contesté la validité de l’assurance présentée par Sidy Diop. D’après la représentante du ministère public, le document ne pouvait excéder 12 mois. A l’en croire, le chanteur a produit un faux document et avait affirmé disposer d’un passavant ce que le prévenu a contesté.
« J’ignorais que l’assurance était fausse. Le propriétaire de la voiture me l’avait fournie. Il a ensuite déposé une nouvelle assurance valide jusqu'en 2025 au commissariat», s’est-il dédouané.
Écartant les accusations de production de faux documents, le maitre des poursuites a demandé de retenir le délit de conduite avec défaut de permis et d'assurance. Il s’est rapporté à la sagesse du juge pour déterminer la peine à infliger au chanteur.
La défense assistée par Me Aboubacry Barro a plaidé la clémence à l’encontre de son client, Sidy Diop qui, selon le conseil, a fait preuve d’humilité. D’après la robe noire, son client a été victime d’une fausse police d’assurance qui lui a été délivrée.
L’affaire sera statuée ultérieurement…
dakaractu
« J'ai conduit sans permis mais je disposais d’une assurance», a soutenu le mis en cause. Interpellé sur ses motivations de conduire sans permis. Il s’est plus accroché sur l’assurance dont il soutient être en sa possession.
« On m’a dit que l’assurance n’est pas conforme. Celle que j’ai, est en cours de validité jusqu'en 2025», a-t-il déclaré. Il ressort des débats d’audience que le numéro de police de l’assurance ne correspondait à aucun numéro des bases de données de CNART ce qui a amené le juge à lui demander d’où il avait eu le document. Le chanteur a expliqué que l’assurance lui a été délivré par son calloborateur qui lui a vendu son véhicule. Interpellé sur l’identité de celui-ci, il dira oublier son nom.
« J’avais envoyé mon frère pour gérer les transactions pour l’achat de la voiture», a indiqué l’artiste chanteur.
Dans sa réquisition, le Procureur a contesté la validité de l’assurance présentée par Sidy Diop. D’après la représentante du ministère public, le document ne pouvait excéder 12 mois. A l’en croire, le chanteur a produit un faux document et avait affirmé disposer d’un passavant ce que le prévenu a contesté.
« J’ignorais que l’assurance était fausse. Le propriétaire de la voiture me l’avait fournie. Il a ensuite déposé une nouvelle assurance valide jusqu'en 2025 au commissariat», s’est-il dédouané.
Écartant les accusations de production de faux documents, le maitre des poursuites a demandé de retenir le délit de conduite avec défaut de permis et d'assurance. Il s’est rapporté à la sagesse du juge pour déterminer la peine à infliger au chanteur.
La défense assistée par Me Aboubacry Barro a plaidé la clémence à l’encontre de son client, Sidy Diop qui, selon le conseil, a fait preuve d’humilité. D’après la robe noire, son client a été victime d’une fausse police d’assurance qui lui a été délivrée.
L’affaire sera statuée ultérieurement…
dakaractu