Les ex Dg de SRT et ex Dg de ATRA, Idrissa Diakhaté et Alassane Ba sont poursuivis pour association de malfaiteurs, abus de confiance, abus de biens sociaux et complicité. Les fonds en cause tournent autour de plus d’un milliard de francs CFA. Tout est parti d’un décaissement de 559,5 millions imputé à A. Ba sans l’aval de la maison mère, le groupe.
D’après iGFM, face aux enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic), le représentant légal du groupe, Oumar Demba Seck, avait expliqué que la société compte 4 filiales qui s’activent dans l’immobilier : Hydrocons, Fimolux, Physalis et Atra. Il précise que, Srt, la dernière née, a été lancée suite à une joint-venture entre Atra et la Caisse des dépôts et consignations (Cdc).
« Toutes ces filiales ainsi que la maison mère sont liées par des contrats de prestations juridiques et financières qui leur permettent de travailler entre elles pour capter en interne les fonds de leur marché immobilier, en lieu et place des sociétés extérieures au groupe », détaille le plaignant.
Qui accuse : « A. Ba a commencé à manifester des attitudes en marge des principes établis
pour le décaissement des fonds du compte de la société Atra logée à Nsia Banque » alors qu’enfonce Seck, il est mentionné dans le statut de la filiale, « tout décaissement pour une quelconque opération doit tout d’abord faire l’objet d’une autorisation de la Direction générale de ‘’Holding Fortune Capital’’. »
Pour « prouver ses décaissements », l’accusation avait fourni le relevé de compte de la filiale Atra aux limiers de la Dic avant de souligner qu’une mission d’audit confiée au cabinet agréé « Corporate Finance Consulting » a révélé un écart financier de 1 milliard 016 millions. Les auditeurs avaient fait état « d’une utilisation non optimale de la gestion des fonds » de la société Atra par son directeur général, rapporte la source.
Celle-ci confie que le mis en cause, convoqué et interrogé dans les locaux de la Dic, avait partiellement reconnu les faits, clamant « qu’étant l’actionnaire majoritaire de la société Atra (il détient 50% des actions, dit-il), et en sa qualité de directeur général, il peut faire des décaissements sans l’avis de personne. »
Visé par la plainte, M. Diakhaté, qui serait à l’origine d’un décaissement illégal de 50 millions avait déclaré avoir utilisé les fonds pour les charges de fonctionnements du groupe. I. Fall nie aussi totalement les faits malgré « les déclarations et les pièces à conviction de la directrice des achats ».
leral
D’après iGFM, face aux enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic), le représentant légal du groupe, Oumar Demba Seck, avait expliqué que la société compte 4 filiales qui s’activent dans l’immobilier : Hydrocons, Fimolux, Physalis et Atra. Il précise que, Srt, la dernière née, a été lancée suite à une joint-venture entre Atra et la Caisse des dépôts et consignations (Cdc).
« Toutes ces filiales ainsi que la maison mère sont liées par des contrats de prestations juridiques et financières qui leur permettent de travailler entre elles pour capter en interne les fonds de leur marché immobilier, en lieu et place des sociétés extérieures au groupe », détaille le plaignant.
Qui accuse : « A. Ba a commencé à manifester des attitudes en marge des principes établis
pour le décaissement des fonds du compte de la société Atra logée à Nsia Banque » alors qu’enfonce Seck, il est mentionné dans le statut de la filiale, « tout décaissement pour une quelconque opération doit tout d’abord faire l’objet d’une autorisation de la Direction générale de ‘’Holding Fortune Capital’’. »
Pour « prouver ses décaissements », l’accusation avait fourni le relevé de compte de la filiale Atra aux limiers de la Dic avant de souligner qu’une mission d’audit confiée au cabinet agréé « Corporate Finance Consulting » a révélé un écart financier de 1 milliard 016 millions. Les auditeurs avaient fait état « d’une utilisation non optimale de la gestion des fonds » de la société Atra par son directeur général, rapporte la source.
Celle-ci confie que le mis en cause, convoqué et interrogé dans les locaux de la Dic, avait partiellement reconnu les faits, clamant « qu’étant l’actionnaire majoritaire de la société Atra (il détient 50% des actions, dit-il), et en sa qualité de directeur général, il peut faire des décaissements sans l’avis de personne. »
Visé par la plainte, M. Diakhaté, qui serait à l’origine d’un décaissement illégal de 50 millions avait déclaré avoir utilisé les fonds pour les charges de fonctionnements du groupe. I. Fall nie aussi totalement les faits malgré « les déclarations et les pièces à conviction de la directrice des achats ».
leral