Accablé par une image de vidéo surveillance, F. Diop, le septième suspect dans l’affaire du double meurtre de Pikine Technopole, avait usé d’astuce pour échapper à la vigilance des limiers de la Division des investigations criminelles (DIC). En quoi faisant ? Libération révèle qu’il s’était rasé le crâne. Malheureusement pour lui, le coup n’est pas passé puisqu’il a été livré à la police par son père.
L’Observateur précise que « quand les trois éléments de la DIC se sont présentés sur les lieux, le père a joint au téléphone le patron de la DIC [Commissaire Adramé Sarr] pour lui expliquer la sensibilité de cette affaire et ne voudrait pas que son fils subisse la vengeance des jeunes sympathisants des défunts. »
C’est ainsi que souffle le journal du Groupe futurs médias (GFM) « un terrain d’entente a été trouvé avec la DIC pour emmener son fils à la police dans la plus grande discrétion, à l’abri des curieux ».
La bande des présumés meurtriers passe ainsi de 6 à 7. Déférés ce mardi, la danseuse Nabou Lèye et Cie bénéficient d’un retour de parquet. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinats, actes de barbarie, vol aggravé et complicité de ces chefs.
Le procureur de Pikine-Guédiawaye a requis l’ouverture d’une information judiciaire.
seneweb
L’Observateur précise que « quand les trois éléments de la DIC se sont présentés sur les lieux, le père a joint au téléphone le patron de la DIC [Commissaire Adramé Sarr] pour lui expliquer la sensibilité de cette affaire et ne voudrait pas que son fils subisse la vengeance des jeunes sympathisants des défunts. »
C’est ainsi que souffle le journal du Groupe futurs médias (GFM) « un terrain d’entente a été trouvé avec la DIC pour emmener son fils à la police dans la plus grande discrétion, à l’abri des curieux ».
La bande des présumés meurtriers passe ainsi de 6 à 7. Déférés ce mardi, la danseuse Nabou Lèye et Cie bénéficient d’un retour de parquet. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinats, actes de barbarie, vol aggravé et complicité de ces chefs.
Le procureur de Pikine-Guédiawaye a requis l’ouverture d’une information judiciaire.
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