Permettre aux acteurs politiques d’aller aux élections dans très bonnes conditions. Voilà l’objet de la rencontre organisée, ce jour, entre les partis au pouvoir, ceux de l’opposition et des non-alignés. La rencontre était axée sur 5 points dont la rationalisation des partis politiques, la fusion de la carte d’électeur et de la carte d’identité, la mise en place du statut de député de la diaspora, la possibilité de vote des militaires et paramilitaires en même temps que les citoyens civils. Au sortir des discussions, 12 points ont été retenus et seront au cœur des débats entre Abdoulaye Daouda Diallo et les acteurs politiques dans les prochains jours.
A en croire le ministre de l’Intérieur, à ces prochaines rencontres, une trentaine d’acteurs politiques seront convoqués de manière à pouvoir mieux centrer les débats et produire un document consensuel entre toute la classe politique sénégalaise. Mais s’il arrivait que les partis au pouvoir, ceux de l’opposition et les non-alignés ne trouvent pas de consensus, Daouda Diallo soutient que ce serait au président de la République Macky Sall de trancher le débat. Et il est convaincu qu’ils n'en arriveront pas là. Parce que dit-il, « il ne devrait pas y avoir de problèmes majeurs parce que les partis d’opposition et du pouvoir ont tous abondé dans un sens allant vers un meilleur respect du processus électoral ».
« Ce qui est important, c’est de travailler pour qu’il y ait un code qui permettra aux acteurs politiques d’aller aux élections dans de bonne conditions », conclut-il.
A en croire le ministre de l’Intérieur, à ces prochaines rencontres, une trentaine d’acteurs politiques seront convoqués de manière à pouvoir mieux centrer les débats et produire un document consensuel entre toute la classe politique sénégalaise. Mais s’il arrivait que les partis au pouvoir, ceux de l’opposition et les non-alignés ne trouvent pas de consensus, Daouda Diallo soutient que ce serait au président de la République Macky Sall de trancher le débat. Et il est convaincu qu’ils n'en arriveront pas là. Parce que dit-il, « il ne devrait pas y avoir de problèmes majeurs parce que les partis d’opposition et du pouvoir ont tous abondé dans un sens allant vers un meilleur respect du processus électoral ».
« Ce qui est important, c’est de travailler pour qu’il y ait un code qui permettra aux acteurs politiques d’aller aux élections dans de bonne conditions », conclut-il.