À la lecture de certains événements, on ne peut pas s’empêcher de se poser certaines questions.
Le limogeage de la présidente de l’ofnac, Nafi Ngom Ndour, la suspension de l’inspecteur des impôts et domaines et président du PASTEF, Ousmane Sonko, et l’inculpation et la mise sous contrôle judiciaire de l’ancien premier ministre Abdoul Mbaye, nous laissent dubitatifs et perplexes. Tous ces trois ont un rapport direct ou indirect avec l’affaire dite PETROTIM.
Il est reproché, à tort ou à raison, à Alioune Sall, frère du président de la République, d’avoir vendu une licence d’exploration de pétrole à plusieurs milliards de FCFA, et ainsi d’avoir commis ce que l’on appelle un délit d’initié. À la suite d’une plainte déposée à l’Ofnac par un citoyen sénégalais, Mme Nafi Ngom Ndour avait ouvert une enquête sur ce dossier.
Et parmi les témoins que l’Ofnac a entendus, figure Mr Ousmane Sonko qui réclame que Alioune Sall doit plus de 90 milliards au trésor public sénégalais représentant les taxes sur le pactole qu’il a gagné en cédant sa licence. L’ouverture de cette enquête n’a pas plu, selon certaines sources, au locataire de l’avenue Roume.
Notre président n’a pas aussi apprécié la sortie de son ancien premier ministre Abdoul Mbaye qui a demandé, à travers un communique de son parti politique, à ce que tous les contrats signés par l’État du Sénégal soient rendus publics dont celui de PETROTIM naturellement.
N’est-il pas légitime alors de se poser la question de savoir si le président, pour étouffer l’affaire PETROTIM, donc protéger son frère, a sacrifié trois dignes fils de ce pays, qui méritaient à mes yeux d’être élevés au grade de l’ordre national du lion pour services rendus à la nation ?
Le limogeage de la présidente de l’ofnac, Nafi Ngom Ndour, la suspension de l’inspecteur des impôts et domaines et président du PASTEF, Ousmane Sonko, et l’inculpation et la mise sous contrôle judiciaire de l’ancien premier ministre Abdoul Mbaye, nous laissent dubitatifs et perplexes. Tous ces trois ont un rapport direct ou indirect avec l’affaire dite PETROTIM.
Il est reproché, à tort ou à raison, à Alioune Sall, frère du président de la République, d’avoir vendu une licence d’exploration de pétrole à plusieurs milliards de FCFA, et ainsi d’avoir commis ce que l’on appelle un délit d’initié. À la suite d’une plainte déposée à l’Ofnac par un citoyen sénégalais, Mme Nafi Ngom Ndour avait ouvert une enquête sur ce dossier.
Et parmi les témoins que l’Ofnac a entendus, figure Mr Ousmane Sonko qui réclame que Alioune Sall doit plus de 90 milliards au trésor public sénégalais représentant les taxes sur le pactole qu’il a gagné en cédant sa licence. L’ouverture de cette enquête n’a pas plu, selon certaines sources, au locataire de l’avenue Roume.
Notre président n’a pas aussi apprécié la sortie de son ancien premier ministre Abdoul Mbaye qui a demandé, à travers un communique de son parti politique, à ce que tous les contrats signés par l’État du Sénégal soient rendus publics dont celui de PETROTIM naturellement.
N’est-il pas légitime alors de se poser la question de savoir si le président, pour étouffer l’affaire PETROTIM, donc protéger son frère, a sacrifié trois dignes fils de ce pays, qui méritaient à mes yeux d’être élevés au grade de l’ordre national du lion pour services rendus à la nation ?