Le ministre de l’Elevage et des productions animales qui était en visite d’inspection samedi dernier, sur les foirails de Kaolack, n’a pas hésité à déplorer le déficit en moutons constaté sur le marché de Kahone, l’un des plus importants centres de spéculation de la région de Kaolack et du Sénégal en général.
Mme Aminata Mbengue Ndiaye a ainsi constaté qu’en pareilles périodes, l’année passée, un effectif de 59 camions avait déjà fini d’envahir le marché, contrairement à cette présente édition de la Tabaski où le constat des superviseurs fait seulement état de quatre (4) camions qui ont eu à convoyer des moutons vers ce marché. En cette même période il a été également constaté l’arrivée sur le marché de Kahone d’une population de 8100 têtes de moutons contrairement à cette année où seulement 1260 ruminants ont été acheminés dans le lieu.
Pour le ministre Aminata Mbengue Ndiaye, ce grand déficit découle, en partie, d’une dépendance historique du Sénégal en moutons de Tabaski. Et cela, vis-à-vis du Mali et de la Mauritanie. Mais aussi des nombreuses tracasseries routières souvent rencontrées par les opérateurs transfrontaliers sur le long des frontières. Ces opérateurs une fois brimés par les nombreux fouilles et contrôles, finissent par migrer dans certaines villes frontalières comme Matam, Diama, Diawara, Rosso ou Bakel où ils pourront vendre librement leurs troupeaux et rentrer chez eux. Le ministre de l’Elevage et des productions animales annonce toutefois sa volonté de poursuivre les transactions avec les pays voisins afin de remettre toutes ces imperfections à l‘ordre et permettre à chaque chef de famille de disposer d’un mouton avant le jour J.
Mme Aminata Mbengue Ndiaye a ainsi constaté qu’en pareilles périodes, l’année passée, un effectif de 59 camions avait déjà fini d’envahir le marché, contrairement à cette présente édition de la Tabaski où le constat des superviseurs fait seulement état de quatre (4) camions qui ont eu à convoyer des moutons vers ce marché. En cette même période il a été également constaté l’arrivée sur le marché de Kahone d’une population de 8100 têtes de moutons contrairement à cette année où seulement 1260 ruminants ont été acheminés dans le lieu.
Pour le ministre Aminata Mbengue Ndiaye, ce grand déficit découle, en partie, d’une dépendance historique du Sénégal en moutons de Tabaski. Et cela, vis-à-vis du Mali et de la Mauritanie. Mais aussi des nombreuses tracasseries routières souvent rencontrées par les opérateurs transfrontaliers sur le long des frontières. Ces opérateurs une fois brimés par les nombreux fouilles et contrôles, finissent par migrer dans certaines villes frontalières comme Matam, Diama, Diawara, Rosso ou Bakel où ils pourront vendre librement leurs troupeaux et rentrer chez eux. Le ministre de l’Elevage et des productions animales annonce toutefois sa volonté de poursuivre les transactions avec les pays voisins afin de remettre toutes ces imperfections à l‘ordre et permettre à chaque chef de famille de disposer d’un mouton avant le jour J.