Sauf revirement, c’est ce 8 avril 2020 que s’ouvre à Paris le procès de l’ancien patron de l’athlétisme mondial, notre compatriote Lamine Diack. Dakarposte est en mesure de révéler qu'il est poursuivi en même temps que son fils, Massata Diack et quatre autres prévenus (dont un de leurs avocats) pour les délits de "corruption active et passive, abus de confiance et blanchiment en bande organisée".
Pour ces chefs d’accusations, l’ancien patron de l’IAAF, la fédération internationale d’athlétisme encourt jusqu’à 10 ans de prison. Son fils également car, ce dernier est au cœur du scandale qui vaut aujourd’hui à son père ce procès qui intervient après plusieurs mois d’interdiction de quitter le territoire français.
Mais le fils, Massata Diack a fui la justice française. Réfugié dans notre pays, il utilise son influence personnelle et celle de son père dans les milieux sportifs et politiques pour se débiner afin d’échapper à la justice internationale. Certes, il a été interrogé par la police sénégalaise sur requête d’Interpol mais cela s’en est arrêté là. Il ne songe même pas aller au secours de son pauvre père, en réalité sa victime parce que c’est un poltron, un fils qui a toujours abusé des faiblesses de son père qui le chérissait plus que tout au monde. Un lâche ? Il ne faut pas craindre d’utiliser ce mot, c’est bien celui qui sied à ce fils qui lâche son père, un vieillard de 86 ans en plein désert sans eau ni nourriture.
Pour ces chefs d’accusations, l’ancien patron de l’IAAF, la fédération internationale d’athlétisme encourt jusqu’à 10 ans de prison. Son fils également car, ce dernier est au cœur du scandale qui vaut aujourd’hui à son père ce procès qui intervient après plusieurs mois d’interdiction de quitter le territoire français.
Mais le fils, Massata Diack a fui la justice française. Réfugié dans notre pays, il utilise son influence personnelle et celle de son père dans les milieux sportifs et politiques pour se débiner afin d’échapper à la justice internationale. Certes, il a été interrogé par la police sénégalaise sur requête d’Interpol mais cela s’en est arrêté là. Il ne songe même pas aller au secours de son pauvre père, en réalité sa victime parce que c’est un poltron, un fils qui a toujours abusé des faiblesses de son père qui le chérissait plus que tout au monde. Un lâche ? Il ne faut pas craindre d’utiliser ce mot, c’est bien celui qui sied à ce fils qui lâche son père, un vieillard de 86 ans en plein désert sans eau ni nourriture.