Madame Hissène HABRE a délibérément décidé de rendre publique, par la voie de la presse locale et sur internet, un dossier classique de contentieux de location d’une villa à usage d’habitation.
La démarche de Madame Habré ne mériterait pas de réaction, si elle ne s’était pas évertuée à tenter de ternir mon image, celle de ma famille mais surtout celle de ma belle-famille, l’une et l’autre étant totalement étrangères à ce dossier.
Il y a eu un contrat de bail entre Madame Habré et moi, concernant une villa sise à Fann-Résidence et que j’ai occupée pendant deux ans et demi, pour un loyer mensuel de 2.500.000 F CFA, payable trimestriellement à l’avance pour un montant de 7.500.000 F CFA.
Il importe de préciser, qu’outre la signature du bail, Madame Habré, elle-même, m’avait laissé entrevoir son intention de me céder la villa, en me la vendant.
C’est la raison pour laquelle, avant d’occuper la maison, qui était dans un état de délabrement avancé, et en accord avec Madame Habré, j’avais, sur fonds propres, effectué des travaux très importants pour rendre la villa habitable.
Ces travaux ont consisté en la réhabilitation et la rénovation de l’ensemble des circuits électriques, la plomberie et la pression dans la distribution de l’eau, la pose des dalles dans la Cour et dans les allées, la remise en état complète du jardin, la plantation du gazon et d’autres chefs de travaux qu’il serait fastidieux d’énumérer.
Ces efforts consentis et leurs résultats encore visibles, m’ont coûté une vingtaine de millions. Les conséquences ont curieusement disparu des photos qui sont rendues publiques par Madame Habré.
Au début de l’année 2016, Madame Habré a confié la gestion de la villa, objet du litige, à une agence immobilière. Quelle ne fut ma surprise lorsqu’il a été porté à ma connaissance que Madame Habré avait décidé, unilatéralement, d’augmenter le loyer à 3.000.000 F CFA et ce, sans aucune concertation préalable. Cette décision, que je n’ai pas acceptée, a créé un contentieux entre nous.
J’ai alors accéléré les travaux de finition de ma propre villa et je me suis installé dans ma maison en fin juin 2016, avec ma famille.
Madame Habré a donc délibérément décidé de porter atteinte à l’honneur et à la considération de ma famille, pour des raisons que je me garderai de commenter.
Je suis un homme d’affaires et un opérateur économique privé. Mon crédit et ma réputation n’ont jamais été pris à défaut.
C’est pourquoi, j’ai demandé à mon Avocat, Maître El hadji Ibrahima NDIAYE, qui a en mains tous les éléments de ce dossier, de saisir la justice pour qu’il soit mis un terme aux agissements de Madame Habré, entrepris au préjudice de ma famille et de ma belle-famille.
Je n’entends nullement engager une quelconque polémique avec Madame Habré. Elle sait que le contentieux portant sur ce dossier est entre les mains de la Justice. Celle-ci, au bout du processus en cours, dira le droit. Et naturellement, toutes les parties concernées s’y conformeront.
Amadou Moustapha Sy
La démarche de Madame Habré ne mériterait pas de réaction, si elle ne s’était pas évertuée à tenter de ternir mon image, celle de ma famille mais surtout celle de ma belle-famille, l’une et l’autre étant totalement étrangères à ce dossier.
Il y a eu un contrat de bail entre Madame Habré et moi, concernant une villa sise à Fann-Résidence et que j’ai occupée pendant deux ans et demi, pour un loyer mensuel de 2.500.000 F CFA, payable trimestriellement à l’avance pour un montant de 7.500.000 F CFA.
Il importe de préciser, qu’outre la signature du bail, Madame Habré, elle-même, m’avait laissé entrevoir son intention de me céder la villa, en me la vendant.
C’est la raison pour laquelle, avant d’occuper la maison, qui était dans un état de délabrement avancé, et en accord avec Madame Habré, j’avais, sur fonds propres, effectué des travaux très importants pour rendre la villa habitable.
Ces travaux ont consisté en la réhabilitation et la rénovation de l’ensemble des circuits électriques, la plomberie et la pression dans la distribution de l’eau, la pose des dalles dans la Cour et dans les allées, la remise en état complète du jardin, la plantation du gazon et d’autres chefs de travaux qu’il serait fastidieux d’énumérer.
Ces efforts consentis et leurs résultats encore visibles, m’ont coûté une vingtaine de millions. Les conséquences ont curieusement disparu des photos qui sont rendues publiques par Madame Habré.
Au début de l’année 2016, Madame Habré a confié la gestion de la villa, objet du litige, à une agence immobilière. Quelle ne fut ma surprise lorsqu’il a été porté à ma connaissance que Madame Habré avait décidé, unilatéralement, d’augmenter le loyer à 3.000.000 F CFA et ce, sans aucune concertation préalable. Cette décision, que je n’ai pas acceptée, a créé un contentieux entre nous.
J’ai alors accéléré les travaux de finition de ma propre villa et je me suis installé dans ma maison en fin juin 2016, avec ma famille.
Madame Habré a donc délibérément décidé de porter atteinte à l’honneur et à la considération de ma famille, pour des raisons que je me garderai de commenter.
Je suis un homme d’affaires et un opérateur économique privé. Mon crédit et ma réputation n’ont jamais été pris à défaut.
C’est pourquoi, j’ai demandé à mon Avocat, Maître El hadji Ibrahima NDIAYE, qui a en mains tous les éléments de ce dossier, de saisir la justice pour qu’il soit mis un terme aux agissements de Madame Habré, entrepris au préjudice de ma famille et de ma belle-famille.
Je n’entends nullement engager une quelconque polémique avec Madame Habré. Elle sait que le contentieux portant sur ce dossier est entre les mains de la Justice. Celle-ci, au bout du processus en cours, dira le droit. Et naturellement, toutes les parties concernées s’y conformeront.
Amadou Moustapha Sy