“Les gens assimilent la colère à une émotion terriblement dangereuse et sont encouragés à pratiquer la pensée positive” disait un illustre professeur. Le chef de file du parti “Les Pastefs” gagnerait pendant qu’il est encore temps à canaliser sa colère. C’est vraiment dévalorisant et dommageable pour quelqu’un de la trempe d’ Ousmane Sonko qui aspire présider aux destinées du Sénégal. Cette séquence postée avilit son image.
Lorsqu’il a monté le ton, l’un des pachydermes, préposé à sa sécurité, au nombre des tristes témoins, a beau tenté de le ramener au calme. En vain. Sonko persiste dans sa poussée de colère. Il perd vite la raison, se laisse embarquer par son irritabilité que ses pourfendeurs qualifient de “légendaire” .
En somme, il doit savoir -à l’image des leaders- gérer son emportement. Un vrai leader ne doit pas, du tout alors s’emporter à la moindre contrariété.
Pour éviter ce genre de débordement, Ousmane Sonko devrait se mettre à l’écoute de sa colère.
En tous les cas, en visionnant la vidéo, on s’est vite rappelé de ce que disait un grand penseur; lequel soutenait : “Les colériques ne savent pas percevoir les signes avant-coureurs de la colère. Ils passent sans transition d’un état “normal” à un état de fureur. Or, à ne pas identifier la montée de la colère, on risque de revenir à l’âge des cavernes et de sortir le gourdin pour se défendre, ce qui est rarement une réponse adéquate de nos jours.”
Lorsqu’il a monté le ton, l’un des pachydermes, préposé à sa sécurité, au nombre des tristes témoins, a beau tenté de le ramener au calme. En vain. Sonko persiste dans sa poussée de colère. Il perd vite la raison, se laisse embarquer par son irritabilité que ses pourfendeurs qualifient de “légendaire” .
En somme, il doit savoir -à l’image des leaders- gérer son emportement. Un vrai leader ne doit pas, du tout alors s’emporter à la moindre contrariété.
Pour éviter ce genre de débordement, Ousmane Sonko devrait se mettre à l’écoute de sa colère.
En tous les cas, en visionnant la vidéo, on s’est vite rappelé de ce que disait un grand penseur; lequel soutenait : “Les colériques ne savent pas percevoir les signes avant-coureurs de la colère. Ils passent sans transition d’un état “normal” à un état de fureur. Or, à ne pas identifier la montée de la colère, on risque de revenir à l’âge des cavernes et de sortir le gourdin pour se défendre, ce qui est rarement une réponse adéquate de nos jours.”