Le tristement célèbre Adama doit nourrir des remords. Pour dire le moins. La cause? Il revient à dakarposte qu'aussitôt placé sous mandat de dépôt, il a été muté dans l'une des "pires chambres" de la redoutée citadelle de Rebeuss. Outre la vétusté , nous avons appris de sources judiciaires que la cellule numéro 1 où le "colis" (ndlr: Adama Gaye pour reprendre le jargon des limiers) a été "déposé " fait partie des chambres les plus surpeuplées de cette prison de détenus qui ont comme dénominateur commun préventionnistes. Ce, compte non tenu de la chaleur suffocante qui y sévit, particulièrement en cette période estivale.
Son douillet appartement climatisé sis à l'immeuble Kébé où il passait le plus clair de son temps à faire des post sur facebook entre autres réseaux sociaux à l'encontre de celui qui tient les manettes du pouvoir Exécutif, doit certainement lui manquer.
Nous osons espérer que l'administration pénitentiaire sera plus clémente envers lui pour l'extirper de cette sidérante promiscuité pour le muter dans une cellule plus "acceptable" digne de son "standing de consultant international".
Pour rappel, Adama Gaye a été inculpé des chefs d’offense au chef de l’Etat et d’atteinte à la sûreté de l’Etat (article 80 du Code pénal du Sénégal). La diffusion d’écrits contraires aux bonnes mœurs a été écartée du dossier.
Adama Gaye a été cueilli chez lui lundi dernier par la Division des investigations criminelles (Dic). Il ne bénéficiera que d’un seul retour de parquet.
Pour la gouverne de ceux qui l'ignorent encore, l’article 80 du Code pénal dispose que : « Les autres manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à enfreindre les lois du pays, seront punis d’un emprisonnement de trois ans au moins et de cinq ans au plus et d'une amende de 100.000 à 1.500.000 francs. Les coupables pourront en outre être frappés d'interdiction de séjour ». Qui ajoute que : « Tout individu qui aura reçu, accepté, sollicité ou agréé des dons, présents, subsides, offres, promesses, ou tous autres moyens, en vue de se livrer à une propagande de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement, ou à inciter les citoyens à enfreindre les lois du pays, sera puni d'un emprisonnement d'un an au moins et de cinq ans au plus, et d'une amende double de la valeur des promesses agréées ou des choses reçues ou demandées sans que ladite amende puisse être inférieure à 100.000 francs».
Son douillet appartement climatisé sis à l'immeuble Kébé où il passait le plus clair de son temps à faire des post sur facebook entre autres réseaux sociaux à l'encontre de celui qui tient les manettes du pouvoir Exécutif, doit certainement lui manquer.
Nous osons espérer que l'administration pénitentiaire sera plus clémente envers lui pour l'extirper de cette sidérante promiscuité pour le muter dans une cellule plus "acceptable" digne de son "standing de consultant international".
Pour rappel, Adama Gaye a été inculpé des chefs d’offense au chef de l’Etat et d’atteinte à la sûreté de l’Etat (article 80 du Code pénal du Sénégal). La diffusion d’écrits contraires aux bonnes mœurs a été écartée du dossier.
Adama Gaye a été cueilli chez lui lundi dernier par la Division des investigations criminelles (Dic). Il ne bénéficiera que d’un seul retour de parquet.
Pour la gouverne de ceux qui l'ignorent encore, l’article 80 du Code pénal dispose que : « Les autres manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à enfreindre les lois du pays, seront punis d’un emprisonnement de trois ans au moins et de cinq ans au plus et d'une amende de 100.000 à 1.500.000 francs. Les coupables pourront en outre être frappés d'interdiction de séjour ». Qui ajoute que : « Tout individu qui aura reçu, accepté, sollicité ou agréé des dons, présents, subsides, offres, promesses, ou tous autres moyens, en vue de se livrer à une propagande de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement, ou à inciter les citoyens à enfreindre les lois du pays, sera puni d'un emprisonnement d'un an au moins et de cinq ans au plus, et d'une amende double de la valeur des promesses agréées ou des choses reçues ou demandées sans que ladite amende puisse être inférieure à 100.000 francs».