Que n'a t'on lu ou entendu sur le limogeage du désormais ex Procureur Spécial de la Crei?
Quelques mois après le départ de Alioune Ndao, Dakar bruit encore du "cas de ce maitre des poursuites", autrement dit du contesté Procureur. Et, vous savez quoi? Nous avons pu glaner dans un cadre huppé que le Procureur aurait voulu libérer le "détenu le plus célèbre du Sénégal" (ndlr: Karim Wade). Aussi incroyable n'en demeure pas moins cette hypothèse, qui parait, à n'en point douter, des plus invraisemblables.
Mais, ceux qui véhiculent ce bruit croient savoir "que pour peu, Karim allait recouvrer la liberté".
Et, c'est au plus fort moment du contesté procès Wade fils que les "choses allaient se passer". Invitées à être plus explicites, des sources réputées fiables, croient savoir que "n'eut été la promptitude du juge Henry Grégoire Diop, informé de la mesure", le fils de Wade "allait être libre de tout mouvement".
L'on se rappelle qu'à peine devait il reprendre du service après une pause qu'il en été suspendu.
Quoi qu'il en soit, les motifs du limogeage de Ndao restent encore variés. Si d'aucuns pensent qu'un incident qui aurait opposé les gendarmes de la SR au procureur spécial, serait à l'origine du départ inopiné de Ndao, arguant que les redoutés pandores auraient refusé d'arrêter d'anciens pontes du régime, notamment Me Madické Niang; Ndela Wade, Lamine Ndiaye etc... d'autres balaient d'un revers de main
Qui plus est, croient on savoir, "fautes d'arguments, ces pandores se sont alors montré réticents encore que ces arrestations programmées devaient se faire à l'insu du ministre de tutelle, Me Sidiki Kaba".
Et, ce serait le général, Haut Commandant de la gendarmerie qui se serait opposé à l'ordre qu'aurait donné Ndao.
Nous y reviendrons!
Quelques mois après le départ de Alioune Ndao, Dakar bruit encore du "cas de ce maitre des poursuites", autrement dit du contesté Procureur. Et, vous savez quoi? Nous avons pu glaner dans un cadre huppé que le Procureur aurait voulu libérer le "détenu le plus célèbre du Sénégal" (ndlr: Karim Wade). Aussi incroyable n'en demeure pas moins cette hypothèse, qui parait, à n'en point douter, des plus invraisemblables.
Mais, ceux qui véhiculent ce bruit croient savoir "que pour peu, Karim allait recouvrer la liberté".
Et, c'est au plus fort moment du contesté procès Wade fils que les "choses allaient se passer". Invitées à être plus explicites, des sources réputées fiables, croient savoir que "n'eut été la promptitude du juge Henry Grégoire Diop, informé de la mesure", le fils de Wade "allait être libre de tout mouvement".
L'on se rappelle qu'à peine devait il reprendre du service après une pause qu'il en été suspendu.
Quoi qu'il en soit, les motifs du limogeage de Ndao restent encore variés. Si d'aucuns pensent qu'un incident qui aurait opposé les gendarmes de la SR au procureur spécial, serait à l'origine du départ inopiné de Ndao, arguant que les redoutés pandores auraient refusé d'arrêter d'anciens pontes du régime, notamment Me Madické Niang; Ndela Wade, Lamine Ndiaye etc... d'autres balaient d'un revers de main
Qui plus est, croient on savoir, "fautes d'arguments, ces pandores se sont alors montré réticents encore que ces arrestations programmées devaient se faire à l'insu du ministre de tutelle, Me Sidiki Kaba".
Et, ce serait le général, Haut Commandant de la gendarmerie qui se serait opposé à l'ordre qu'aurait donné Ndao.
Nous y reviendrons!